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À voir autour

Franière - balade sympa en famille

Description

Petite promenade sympa à Franière...

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 28/07/2015
6.1 km
max. 121 m
min. 82 m
94 m

Accessibilité

Style : Balade

Profil altimétrique

Point de départ

6-34 Rue de l'Eglise , 5150 Floreffe
Lat : 50.43865Lng : 4.72745

Points d'intérêt

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14-18 les déportés

Le 27 novembre 1916, l’occupant déporta 1299 hommes de la région (voir le monument et le panneau spécifique place de la gare de Franière) vers les camps de Cassel, au sud de Hanovre en Hesse-Nassau (D). Parmi eux, 477 habitants de l’actuelle commune de Floreffe, dont 226 de Floreffe proprement dit, 70 de Floriffoux, 97 de Franière et 84 de Soye. Des 226 Floreffois, 15 décédèrent en déportation ou de ses suites.  Cette rue leur est dédiée.

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14-18 Eglise de Franière

Soldats belges : - Fernand MASSART, né à Franière le 29 février 1892, sergent au 13e Rgt d’Infanterie de Ligne, tombé à Berlare/Malines le 5 octobre 1914. - Fernand ROGER, né à Franière le 29 mai 1893, soldat au 9e Rgt d’Artillerie, tombé à Kaaskerke/Dixmude le 23 juillet 1916. A partir de mai 1915, les Belges creusèrent une tranchée dans la digue de la rive gauche de l’Yser et les Allemands ne tardèrent pas à faire de même de leur côté.  Les postes avancés des deux camps se trouvèrent ainsi distants d’une cinquantaine de mètres seulement.  Cet endroit, appelé le « Boyau de la Mort », était estimé le plus dangereux du front.  En 1916, on y construisit une puissante position fortifiée dont le maintien provoqua des combats acharnés et meurtriers.  La localité de Kaaskerke en fit les frais durant l’été 1916.  Fernand Roger trouva la mort au cours d’un de ceux-ci.  

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14-18 Français et Belges combattent côte à côte

- Lucien LEBRETON, né à Bel Air en Reguiny (Morbihan/F) le 16 décembre 1889, soldat au 41e Rgt d’Infanterie de Rennes, tombé à l’ennemi à Franière le 21 août 1914. Extrait de « Lucien Lebreton raconte sa guerre » : « En ce samedi 1er août 1914, c’est la stupeur dans le petit village breton de 1500 âmes qu’est Réguiny, la guerre est déclarée, j’aurai bientôt 25 ans et il me faut rejoindre le 41e Régiment d'Infanterie à Rennes. /.../ Mathurin et moi, nous sommes dans la même 1e Compagnie du 1e Bataillon.  Le 5 août à 8 heures, nous embarquons. /.../ Le 20 août, nous sommes à Fosses, dans la campagne de Taravisée, en avant-garde de la 38e Brigade, notre mission est précise, nous devons garder les passages sur la Sambre depuis Ham-sur-Sambre jusque Floreffe. /.../ Le 21 août à 1 heure du matin, nous entendons pour la première fois quelques coups de fusil épars à droite et à gauche. /.../ L’action s’engage alors devant Ham-sur-Sambre, défendu par notre Bataillon, flanqué de la 8e Compagnie, tandis que le 2e Bataillon, déployé juste à notre droite, et auquel nous nous trouvons mêlés, veille sur les ponts de chemin de fer et l’écluse n°19 de Mornimont. /.../ Le combat est rude de part et d’autre; l’artillerie et les mitrailleuses donnent de partout, la bataille fait rage. »

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Chapelle Saints-Pierre-et-Paul

La tradition rapporte qu’en 1674, un seigneur local qui avait survécu à un accident de chasse fit édifier en remerciement une chapelle dédiée aux Saints Pierre et Paul. Une jolie dalle en calcaire rappelle cette fondation « CETTE CHAPEL AT ESTE FAITE LANNEE 1674 ». On ne sait pas grand-chose de l’utilisation du sanctuaire jusqu’à la fin du XIX° siècle. En 1898, la glacerie Saint-Gobain ouvre ses portes, de nombreuses maisons sont construites, la chapelle se trouve alors en bordure d’une importante zone d’habitat, et tacitement, elle devient le lieu de culte du quartier. Des transformations y sont apportées au début du XX° siècle, aménagement d’un nouvel autel avec réduit-sacristie, construction d’un jubé en mezzanine et d’un clocheton extérieur. Aujourd’hui déserté par les fidèles, l’endroit bénéficie cependant de soins attentifs de la part de la Commune qui en assure la restauration et l’entretien. Chaque année, fin juin, une animation particulière est donnée au petit sanctuaire avec la Marche organisée par la Compagnie locale de Zouaves.

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La Croix Hancotte

Le lundi 24 août 1914, en fin d’après-midi, le jeune Georges Hancotte venant à pied de Soye, en passant par Franière, arrive à Floreffe.  Peu avant le bois de Nangot, deux blocs de maisons sont séparés par une étroite servitude.  Au passage, Georges y voit quelques soldats français en observation du chemin venant de Floreffe.  S’arrête-t-il, leur parle-t-il, nul ne le saura jamais. Arrivé ici, au pied de l’abbaye, le jeune homme s’arrête pour laisser passer et regarder une patrouille de cavaliers allemands.  Ceux-ci ont aperçu les Français, ce qu’il ignore.  Le sous-officier chef de patrouille lui demandant s’il a rencontré des Français, Georges répond négativement. L’Allemand dégaine son pistolet et l’abat froidement sur place, pour le simple fait de lui avoir menti, il est 17 heures. Cette croix rappelle ce tragique événement.

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14-18 Au Rivage

Le 21 août 1914, des éléments du 3e Bataillon du 41e Régiment d’Infanterie tiennent encore les deux ponts de Franière, les quatre ponts de Floreffe, et celui de Floriffoux.  Il est primordial d’empêcher le plus longtemps possible les Allemands de franchir la rivière !  Elle ne le sera que le 22 et le23, après la bataille d’Auvelais et le début de la retraite de Namur.   Comment franchissait-on jadis la Sambre sur le territoire des localités composant aujourd’hui Floreffe ?  Le chemin de fer reliant Namur à Charleroi sillonne le lit majeur de la Sambre tout en en recoupant les nombreux méandres. On a ainsi deux ponts rails à Franière (à la limite de Mornimont et au pied de l’église), deux sur Floreffe (à Hamptia et sous Mauditienne) et un sur Floriffoux (près de l’ancienne glacerie).  Les passages routiers se trouvent quant à eux sur les voiries reliant Franière à Soye et Floreffe à Mauditienne, et à Floriffoux là où se situaient écluse et déversoir vis-à-vis du château de Dorlodot.  Les travaux en cours durant la première guerre ont quelque peu modifié la situation, mais ceux des années soixante y apporteront des changements nettement plus fondamentaux.

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14-18 Pont de Soye

les ponts de la Sambre défendus...

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