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"Saint-Germain区 - Invalides"

"Saint-Germain区 - Invalides"

Cirkwi 简报

探索贵族巴黎:福堡圣日耳曼之旅

想象一下漫步在法国贵族的余韵仍然弥漫在空气中的街道上。多米尼克(Dominique)精心设计的行程邀请您探索18世纪贵族巴黎的中心地带,始于历史悠久的协和广场。这不仅仅是一次散步,更是一次穿越大都会伯尔尼宫和见证了数个世纪历史、故事和转变的庄严环境的时光旅行体验。当您踏上这段非凡之旅时,让脚下的鹅卵石向您讲述它们的故事,去深入一个辉煌的过去与充满活力的现在相遇的世界。

技术路线概述

这条路线约长5.5公里,起点为协和广场地铁站。旅行者将穿越从海平面26米至39米之间的不同海拔高度,仅有1米的最小高程变化。该行程在标志性的伯尔尼宫附近结束,非常适合那些寻求易于管理但令人满足的探索体验的人。该行程适合步行,为您提供了一个中等难度的机会,无需专业设备或培训,即可感受巴黎的历史地标。

季节性探险提示

无论季节如何,从福堡圣日耳曼到残疾人区的通行路线都会带来迷人的美景和对巴黎贵族历史的一瞥。在春夏季,您可以欣赏到盛开的巴黎街景,但请记得携带水和防晒霜。秋天带来了一个凉爽但同样美丽的体验,人群较少。冬天是寒冷的,温暖的衣物和舒适的鞋子是必不可少的,因为路面可能会很滑。始终手持一张地图(或手机),因为对于初次来访者来说,历史悠久的街道有时会成为迷宫。

巴黎的历史意义

巴黎,法国充满活力的首都,不仅仅是个旅游目的地,它是一本活生生的历史书。特别是福堡圣日耳曼和残疾人区展示了这座城市贵族过去的辉煌和优雅。曾经是法国贵族们的游乐场,这个地区的建筑和标志性建筑,如伯尔尼宫,讲述了政治阴谋、艺术发现和法国社会演变的故事。当您穿越这片领土时,您正走在那些革命塑造并有影响力的人物改变历史进程的同一条道路上。

巴黎的气候状况

巴黎的气候主要是温和的,每个季节都提供了城市的独特视角。夏天一般温暖宜人,因此是游客常去的时间。然而,春天和秋天则提供了较少人群的体验,气温温和,非常适合步行探索。冬天带有它独特的魅力,气温较低,偶尔有降雪,但最好为雨天做好准备。要进行最佳的福堡圣日耳曼到残疾人区步行之旅,请考虑在4月至6月或9月至11月之间访问,以获得最好的宜人天气和较少人群的平衡。
自动生成。

技术信息

徒步
难度
非常容易
持续时间
2h (1天)
距离
5.5 km
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高程剖面

起点

70 Place de la Concorde , 75008   Paris
Lat : 48.8661Lng : 2.32234

兴趣点

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Fontaine des Quatre Saisons

Monumentale, quasi l'étroit dans la rue de Grenelle, la somptueuse fontaine des Quatre Saisons, commandée en 1739 à Bouchardon par Michel-Étienne Turgot, prévôt des marchands et père du célèbre ministre de Louis XVI, était destinée à approvisionner en eau le faubourg Saint-Germain, alors très en vogue, mais aussi à être un monument commémoratif en l'honneur du roi Louis XV. Son allure générale peut faire penser à la façade façade d'un hôtel particulier ou d'une église mais ses deux portails mènent d'une part au jardin du musée Maillol et d'autre part à un immeuble moderne et sa fonction première ne saute pas immédiatement aux yeux, l'eau coulant de la gueule de quatre mascarons de bronze figurant une tête de monstre marin, situés à cinquante centimètres du sol. Une allégorie de la Ville de Paris dominant la Seine et la Marne trône à l'avant-corps tandis que les ailes sont ornées de beaux bas-reliefs et de niches abritant les génies des saisons. Derrière la statue de la Ville de Paris, une plaque entourée de colonnes porte la dédicace latine suivante : DUM LUDOVICUS XV POPULI AMOR ET PARENS OPTIMUS PUBLICÆ TRANQUILLITATIS ASSERTOR, GALLICI IMPERII FINIBUS, INNOCUE PROPAGATIS, PACE GERMANOS RUSSOSQUE INTER ET OTTOMANOS FELICITER CONCILITA, GLORIOSE SIMUL ET PACIFICE REGNABAT. FONTEM HUNC CIVIUM UTILITATE, URBISQUE ORNAMENTO. CONSECRARUNT PRAEFECTUS ET ÆDILES ANNO DOMINI M.DCC.XXXIX que l'on peut traduire par : Au temps où Louis XV, père excellent et amour de son peuple, garant de la paix publique, après avoir étendu sans dommage les frontières du royaume de France, après avoir obtenu la paix entre les Germains, les Russes et les Ottomans, régnait avec gloire et pacifiquement, le préfet et les édiles ont consacré cette fontaine pour l'utilité des habitants et l'ornement de la ville, en l'an du Seigneur 1739.

- Dominique David -
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Hôtel de Biron - Musée Rodin

Erigé entre 1728 et 1730 pour un certain Abraham Peyrenc, un perruquier grassement enrichi par le système de Law et ayant acheté un titre de marquis, l'hôtel prend d'abord logiquement le nom de Peyrenc de Moras. Sa veuve le loue de 1736 à 1753 à Louise-Bénédicte de Bourbon, duchesse du Maine, qui y mène une vie fastueuse. A son décès, les héritiers de Peyrenc de Moras le vendent au maréchal Louis-Antoine de Gontaut, 6e duc de Biron, qui en fait agrandir. le jardin. L'encombrante propriété, fortement délabrée, est vendue à la Société du Sacré-Cœur de Jésus, consacrée à l'éducation des jeunes filles de l'aristocratie et de la haute bourgeoisie. Les religieuses le jugeant trop richement ornementé décident de le dépouiller de ses décorations. Au cours du XIXe siècle, un pensionnat, puis une chapelle sont construits sur la propriété. La loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et l'Etat va mener à sa confiscation par ce dernier. Après quelques années de déshérence, la propriété est classée et scindée en deux lots : d'une part, l'hôtel, ses communs et son jardin, d'autre part l’ancien pensionnat et ses dépendances, dans lequel l'Éducation nationale installe ce qui est aujourd’hui le lycée Victor-Duruy. Entre-temps, l'hôtel a été transformé en résidence d'artistes. C'est ainsi que Cocteau, Matisse et bien entendu Rodin y élisent domicile. Alors que l'Etat décide en 1911 de congédier ses locataires, Rodin arrive à trouver un arrangement grâce auquel il obtient la jouissance du lieu en échange de ses œuvres, à conditions que l'Etat le transforme en musée à sa mort. Le musée, intégralement rénové de 2012 à 2015, présente au visiteurs plus de 600 œuvres, dont 440 sculptures. Parmi les plus connues, on peut citer le Penseur, les Bourgeois de Calais, la Porte de l'Enfer, le Baiser, la Cathédrale... En outre, divers dessins de l'artiste sont exposés, de même que nombre d'œuvres qu'il aimait collectionner, comme des statues antiques mais aussi trois beaux tableaux de Van Gogh. Par ailleurs, une salle est consacrée aux sculptures de Camille Claudel, qui fut la maîtresse de Rodin. Pour plus d'informations : www.musee-rodin.fr/

77 Rue de Varenne 75007 Paris
- Dominique David -
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Dôme des Invalides - Tombeau de Napoléon

A l'origine, les deux églises actuelles formaient un seul et unique lieu de culte qui partageaient le même sanctuaire. D'une part, l'actuelle cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, appelée à l'époque église des Soldats, était réservée aux pensionnaires alors que le Dôme, aujourd'hui désacralisé, était exclusivement voué à la famille Royale. Erigé pour témoigner de la grandeur du Roi Soleil, le Dôme constitue le point d'orgue de l'art classique religieux français. Son plan général est somme toute assez simple, puisqu'il s'agit d'une croix grecque inscrite dans un plan carré. L'avant-corps central et les deux corps latéraux présentent la même élévation, ne nécessitant pas le recours aux volutes de raccordement. Les façades sont composées de deux ordres superposés, dorique au rez-de-chaussée, corinthien à l'étage, et flanquées d'un porche surmonté d’un fronton triangulaire. La façade principale, qui était autrefois l'entrée principale, réservé au Roi et à son entourage, s'ouvre par un majestueux portique à colonnes reprenant la même alternance verticale d'ordres. L'entrée est encadrée par deux statues de Saint-Louis et Charlemagne, respectivement du ciseau de Nicolas Coustou et Coysevox. L'entablement à ressauts qui sépare les étages est orné de quatre statues représentant des vertus. Le fronton sculpté qui coiffe la façade est de Coysevox. L'élégant dôme de forme ovoïde, surmonté d'un gracieux lanternon orné de quatre statues de vertus et d'un flèche qui culmine à 107m au-dessus du sol, repose sur un tambour à colonnes à deux étages ornés de hautes fenêtres. Il marque une évolution par rapport à la sévérité qui prévaut jusque là dans l'architecture classique et gagne en complexité et en ornementation au fur et à mesure de sa hauteur. Sa couverture, faite de lames de plomb attachées à une robuste charpente en bois de chêne par de agrafes de cuivre, est constitué de douze compartiments dorés et décorés de trophées dans lesquels se dissimulent des lucarnes. Redoré en 1807, 1830, 1839, 1937, il a nécessité 12 kilos d'or pour la dernière intervention, en 1989. L'intérieur frappe les esprits par sa luminosité et sa beauté (murs ornés de pilastres, de colonnes, de bas-relief). L'impressionnante coupole, qui repose sur quatre piliers massifs, percés en leur centre pour donner accès aux chapelles d'angle, est elle aussi richement décorée. Aux pendentifs, les Evangélistes, peints par Charles de La Fosse. Les douze Apôtres, peints par Jouvenet, prennent place dans des compartiments séparés tandis que la calotte s'orne d'une fresque de Charles de La Fosse, "Saint Louis déposant sa couronne et son épée entre les mains de Jésus-Christ, assis au milieu d’une gloire et accompagné de la Vierge". Derrière le somptueux maître-autel à colonnes torses et surmonté d'un baldaquin édifié par Visconti, la grande verrière posée en 1873 pour scinder l'église en deux laisse entrevoir l'intérieur de la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, pavoisée des drapeaux et bannières pris à l'ennemi. Désacralisé à la Révolution, le Dôme est devenu un panthéon militaire accueillant les restes de grands hommes de guerre français (La Tour d'Auvergne, Rouget de Lisle, les maréchaux Leclerc et Juin...). On peut admirer dans les chapelles latérales le monument contenant le cœur de Vauban, les tombeaux des maréchaux Foch, Lyautey et Turenne, ainsi que ceux de Jérôme et Joseph Bonaparte, frères de Napoléon. Posé au fond d'une crypte à ouverture circulaire creusée par Visconti afin de ne pas dénaturer l'harmonie de l'édifice, le monumental sarcophage de porphyre rouge où repose l'Empereur se tient sur un soubassement en granit vert des Vosges. Six cercueils de taille décroissante emboîtés les uns dans les autres contiennent la dépouille de Napoléon. Douze victoire sculptées par Pradier entourent le monument. Veillant sur son sommeil éternel, deux grandes statues de bronze montent la garde. L'une tient un globe, l'autre le sceptre et la couronne impériale.

129 Rue de Grenelle 75007 Paris
- Dominique David -
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Hôtel des Invalides - Cour d'honneur

Reprenant une idée de ses prédécesseurs Henri II, Henri III et Henri IV, Louis XIV décide en 1670 de faire édifier un complexe visant à assurer aide et assistance aux soldats invalides de ses armées ; pour que "ceux qui ont exposé leur vie et prodigué leur sang pour la défense de la monarchie (…) passent le reste de leurs jours dans la tranquillité". Le projet, destiné à prendre place dans la plaine de Grenelle, alors en plein campagne, est confié par le secrétaire d'État français de la Guerre Louvois à l'architecte du Roi Libéral Bruant, déjà auteur de l'hospice de la Salpêtrière. Le chantier est mené tambour battant dès novembre 1671 et s'achève février 1674.Seule l'église royale, confiée par la suite à Jules Hardouin-Mansart, n'est pas encore achevée à cette époque, il faudra néanmoins attendre 1706 pour qu'elle le soit. Le Roi Soleil inaugure les bâtiments en octobre 1674, date à laquelle les premiers pensionnaires occupent les lieux. Prévu initialement pour accueillir 6000 invalides (ce qui sera le cas de 1696 à 1690), l'établissement n'en hébergera finalement que 4000, des travaux ayant été entrepris pour le rendre plus confortable. Le 14 juillet 1789, les insurgés assiègent les Invalides et s'emparent de 30000 fusils et 27 canons qui leur serviront pour prendre la Bastille. L'ensemble conserve sa vocation durant la période révolutionnaire ainsi que durant l'Empire. En 1793, l'église est convertie en temple de Mars avant de devenir nécropole militaire. Elle accueille à ce titre les cendres de Turenne et accueille les trophées des campagnes impériales. Le 15 juillet 1804 s'y déroule la toute première remise de médailles de la Légion d'honneur par Napoléon aux officiers méritants. En 1840, les cendres de Napoléon sont provisoirement déposées dans la chapelle du Dôme avant de prendre leur place définitive dans le sarcophage de la crypte. A côté de sa mission initiale, l'hôtel des Invalides abrite aussi trois musées : le Musée des Plans-Reliefs, qui présente une collection unique au monde de maquettes tridimensionnelles des places fortes françaises, le Musée de l'Armée, consacré à l'art, la technique et l'histoire militaire du monde entier (armes, armures, uniformes, maquettes de batailles...) et le Musée de l'Ordre de la Libération. La majestueuse et sévère cour d'honneur, que Chateaubriand comparait à un "cloître militaire" est une superposition d'arcades et de galeries sobrement décorées, cadre idéal pour les cérémonies d'hommage national aux militaires tombés au combat, mais aussi pour certaines personnalités civiles (Jacques-Yves Cousteau, Jacques Chaban-Delmas, Philippe Séguin, homme d'État, Stéphane Hessel, diplomate, Pierre Mauroy, Dominique Baudis, Charles Pasqua, Michel Rocard, Simone Veil, Jean d'Ormesson, Charles Aznavour, Jacques Chirac, Jean-Paul Belmondo, Michel Bouquet). Une impressionnante collection de pièces d'artillerie ainsi un char léger ont pris place sous les arcades du rez-de-chaussée. Au centre du pavillon central le plus orné, qui sert de façade à l'église Saint-Louis, la célèbre statue de Napoléon en Petit Caporal. La soixantaine de lucarnes de pierre hautes d'environ de trois mètres qui cernent la cour d'honneur sont ornées de trophées d'armes et d'attributs militaires ou héraldiques. L'une d'elle, la cinquième à droite du pavillon de l'aile est, y fait exception. On y voit une créature ressemblant à un loup, jaillissant de hautes herbes, les pattes enserrant l'œil-de-bœuf, en train d'observer la cour. Ce rébus de pierre, "Loup voit", serait clin d'œil au secrétaire d'État français de la Guerre Louvois. Pour plus d'informations : www.musee-armee.fr/accueil.html

21 Rue de Constantine 75007 Paris
- Dominique David -
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数据作者

Image Dominique David
提出者 Dominique David

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We have no information on the difficulty of this circuit. You may encounter some surprises along the way. Before you go, please feel free to inquire more and take all necessary precautions. Have a good trip! 🌳🥾