尼伊-普莱桑斯发现之路

Aujourd’hui, longue coulée paysagée traversant totalement la ville de la Marne aux pieds des coteaux d’Avron. A l’origine, il y avait une voie ferrée à usage industriel qui reliait les carrière et usines de plâtre du plateau d’Avron au four à plâtre et au port sur la Marne, au niveau de l’actuel viaduc du RER. Le chemin de fer à voie étroite descendait jusqu’à 25 wagonnets chargés de gypse ou d’argile dès le milieu du XIXème siècle, jusqu’en 1960. La première locomotive était à charbon et vapeur pour être remplacée dans les années 20 par une machine pétroléo-électrique. Un conducteur et un serre-frein menaient le convoi. Le dernier four a été éteint par les plâtres Lafarge en 1970. Jusqu’en 1984, et depuis la fin de l’exploitation de 1960, il y a eu près de 25 ans d’accumulation de détritus et produits de décharge sauvage. Leur évacuation à débuté au milieu des années 80 pour aboutir en 1988 à l’inauguration de la voie Lamarque plantée d’arbres rares et recherchés ainsi que d’une longue roseraie. Lamarque était le dernier exploitant à utiliser la voie ferrée de transport du gypse

Cette cloche qui était dans le clocher de l’église Saint-Henri depuis 1874, a été remplacée en 1989 par un nouveau carillon de 4 cloches, nommées Geneviève, Madeleine, Marie et Angeline.

Dépôt des autobus Il est toujours en exploitation et sert de base technique et de dépôt pour de nombreuses lignes d’autobus de la banlieue est de Paris. A l’origine, c’était le dépôt des tramways de la Compagnie des Chemins de Fer Nogentais, installés sur le site depuis 1887. Les premières lignes fonctionnaient à air comprimé avec le système Mebarski. Une centrale électrique (repérable à sa haute cheminée, démolie dans les années 1970) était implantée à l’emplacement de la gare RER complétait l’équipement. Le système a air comprimé a fonctionné jusqu’en 1900, avant sa conversion à la traction électrique. Deux lignes desservaient Neuilly Plaisance : L’une allant des hôpitaux de Neuilly sur marne à la Barrière du Trône (place de la Nation à Paris) et l’autre de Neuilly sur Marne à la gare de Rosny sous bois – Neuilly Plaisance Les lignes de tramway ont fermé en 1937 pour être remplacées par un réseau d’autobus plus dense. Gare du RER La ligne de RER A Torcy – Saint Germain en Laye a été inaugurée le 8 décembre 1977. Une gare Neuilly Plaisance est construite sur le plus long viaduc du réseau (reliant la colline de Fontenay à celle de Noisy le Grand) juste avant le franchissement de la Marne et à l’emplacement des anciennes installations du tramway.

La Marne à Neuilly Plaisance Le partage de 1892 ne laisse que 600 m de la rive droite de la Marne à Neuilly Plaisance alors que Neuilly sur Marne en conserve 5 km. En amont, un four à plâtre servait à la transformation du gypse, extrait des carrières d’Avron et transporté par le petit train jusqu’aux Bords de Marne. Il a été démoli au début des années 1990 pour recevoir la construction d’un ensemble de bureaux, de commerces et d’habitations. Les berges permettaient l’accotement des barges et péniches pour assurer le transport du plâtre. Place Montgomery Place Montgomery (ville américaine de l’Ohio jumelée à Neuilly Plaisance), une statue représente un aigle aux ailes déployées. C’est l’aigle symbole des Etats unis d’Amérique, mais aussi celui du seigneur d’Avron Le Ragois de Bretonvilliers, dont le château était implanté sur les hauteurs de la commune et que retrouve sur le blason de la ville.

Les Pingouins de la Marne En aval, et en commun avec le Perreux sur Marne, a été établi un important complexe sportif nautique concernant la natation et le plongeon : les Pingouins de la Marne. Un plongeoir de haut vol (10 m) et un tremplin de 3 m étaient installés. Les bassins délimités par des pontons flottants ont accueillis de nombreuses compétitions, dont les championnats de France (avant la construction du stade nautique Georges Valleret à Paris pour les JO de 1924). La baignade a été interdite pour cause de pollution en 1975.

Eglise Saint Henri C‘est l’une des 2 églises de Neuilly Plaisance. L’autre, Notre Dame de l’Assomption est implantée au Plateau d’Avron. C’est un bâtiment remarquable, que nous verrons dans le deuxième circuit. La construction de l’église saint Henri est antérieure à la formation de la commune de Neuilly Plaisance puisque la négociation de sa construction remonte à 1867 où Monsieur Poulet Langlet, un important investisseur lotisseur à l’origine de la fondation de Neuilly Plaisance, fait don d’un terrain pour construire l’église dédiée aux nouveaux « hameaux » de Neuilly sur Marne trop éloignés de l’église saint Baudile. Ce terrain était situé sur l’actuelle place de la République. Un nouvel emplacement est offert par M. Poulet Langlet en 1868. Les travaux débuteront en 1869 et l’édifice sera achevé en 1873. Les conflits entre les nouveaux quartiers et l’administration de tutelle officielle sont permanents et l’église n’ouvrira ses portes qu’après avoir été « meublée », ce qui prendra encore quelques mois et de nombreuse joutes municipale ubuesques jusqu’à l’indépendance de la commune en 1892. La statue de saint Henri est l’œuvre d’un artiste paroissien : Charles Jacob. Les crues de la Marne. Les crues de la Marne furent très nombreuses. La dernière d’importance remonte à 1964. Depuis de grands travaux ont été entrepris en amont et d’importants volumes de rétention permettent de limiter les effets des crues. La crue la plus importante fut celle de janvier – février 1910, où l’église située à 800 m des berges de la Marne à été sous 1.60 m d’eau. Tout le quartier, jusqu’au rond point du chalet, à 1 km de la Marne est un vaste point bas très plat : il n’y a qu’1 m de dénivellation entre ces deux points. De nombreuses photos d’époque témoignent de l’importance des dégâts. De plus les collines alentour menant au Perreux, à Fontenay et à Rosny se déversent naturellement sur ce même espace. Lors de fortes pluie d’orage, les sols bétonnés n’absorbent pas et les débits énormes d’eau entrainent des dépôts de limons qui obstruent les réseaux pourtant largement dimensionnés. On a déjà relevé des dépôts accumulés sur 80 cm dans un égout ovoïde de 2,00 m de haut. A chaque très gros orage, le quartier bas était inondé. Début XXIème siècle, la construction de 2 grands bassins de rétention et de décantation (rue Danielle Casanova et voie Lamarque) a été entrepris. Depuis leur mise en service, aucun incident n’a été observé.

Ferme Modèle Terrisse Dernier vestige important du passé agricole de la ville. Jadis, il y avait au moins 6 fermes importantes réparties sur la commune ainsi qu’un certain nombre de points de vente de lait chaud. La ferme Terrisse a cessé son activité en 1989 à la retraite de M. Terrisse fils, son dernier exploitant. Les vaches restaient à l’étable, n’ayant pas d’espaces suffisant à pâturer. A l’origine de sa construction, la ferme modèle était une écurie privée pour chevaux de course, appartenant à la famille Gaveau, facteurs de pianos.

Rond-point du Chalet Sur les plans de lotissement du XIXème siècle, le lieu était indiqué : square du Val de Plaisance. Plus tard, vers 1870, est construit une grosse maison bourgeoise, « la grande maison carrée » qui sera reconnue comme le « chalet ». Cette demeure est restée en place jusqu’au début 1970, où elle fut démolie après le décès de sa dernière occupante et transformée en rond-point paysagé où un cèdre aujourd’hui imposant s’est considérablement développé.

A la création de la commune en 1892, il faut doter la nouvelle commune d’une mairie. Un gros pavillon est acquis en 1892, qui est transformé en mairie. Le bâtiment devient vite trop petit et des agrandissements sont effectués : en 1899, une aile à droite qui recevra la bibliothèque municipale et en 1905, à l’arrière, la salle des mariages. Plus tard, vers 1960, deux bâtiments identiques encadrent la Mairie : à gauche, les pompiers (ils étaient municipaux et pas encore intégrés au Sapeurs Pompiers de Paris) et le garage municipal et à droite, des services fiscaux.

Ancienne salle des fêtes : Dès la fin du XIXème siècle est construite près de la mairie une salle des fêtes. Dans les 30, elle sera transformée en cinéma : le Palais des Fêtes qui subsistera jusqu’à la fin des années 60. Les locaux sont repris par des dissidents du groupe Leclerc pour installer un magasin EX, qui sera ensuite repris par le groupe Intermarché. Après agrandissement début 2000, on trouve les locaux actuels où a été conservé le fronton crénelé d’origine. Deux autres cinéma existaient à Neuilly Plaisance jusqu’à la fin des années 1960: le Plaisance (anciennement Idéal Sold) et le Casino de la Maltournée (Midas). Marché A l’origine, la place du marché devait recevoir l’église de la future commune. Dès les années 1890, en bordure de la rue de Beauté (rue P Vaillant Couturier), sous les platanes toujours existants, quelques marchands et fermiers locaux venaient vendre leurs produits. Devant le développement du marché forain, un marché couvert est construit en 1934. Il sera rénové en 1968 puis en 1984. Aujourd’hui, en régression comme tous les marchés forains, une allée du marché couvert vient d’être neutralisée. Jusqu’à la fin du XXème siècle, se tenait sur la place du marché une très importante fête foraine, d’abord au 15 août, puis après la 2ème guerre mondiale à la Pentecôte.

La Salle des Fêtes : Pour remplacer l’ancienne salle des Fêtes devenue cinéma, une nouvelle salle des Fêtes est construite en 193. ;. Plus vaste et plus moderne, elle accueille les manifestations festives de la ville. Elle sera remaniée et modernisée début 1980, transformée en salle polyvalente avec gradins amovibles. Son fronton est encore orné de l’ancien blason de la ville qui était divisé en 4 quartiers avec un médaillon central au chiffre NP. Les armes actuelles reprennent l’aigle aux ailes déployées du seigneur d’Avron au 17ème siècle absorbant les armes de Neuilly sur Marne, adopté par la commission héraldique en 1951.

La maison Dumont, domicile et bureaux d’un des principaux exploitants des carrières de gypse du plateau d’Avron. Dumont était un des 3 exploitants des carrières d’Avron à Neuilly Plaisance avec Charlier et Salle et Lamarque. Il fabriquait le plâtre dans les fours installés au plateau d’Avron. Charles Dumont a été maire de Neuilly Plaisance entre 1923 et 1940.

Emmaüs et l’Abbé Pierre Henri Grouès, né en 1912 à Lyon est un prêtre catholique ordonné en 1938, puis mobilisé en 1939. A l’armistice, il entre en résistance d’abord dans le Vercors, puis parcours l’Espagne et l’Afrique du Nord pour rejoindre le Gal de Gaulle. Lors de son périple il changera plusieurs fois d’identité pour adopter en final le pseudonyme d’Abbé Pierre. A la libération, il engage une carrière politique et devient député MRP de Meurthe et Moselle de 1945 à 1951. Dès 1947, il loue la grande propriété Decensière, 38 avenue Paul Doumer qui comporte une vaste habitation très délabrée et surtout, un parc de 5 000 m² qu’il achètera ensuite. Progressivement, avec une équipe de bénévoles (religieux et (ou) politiques), il retape la construction pour l’ouvrir en auberge de jeunesse en 1950. Ses émoluments de député sont intégralement consacrés à son œuvre. Après son mandat électif, il débute son action de chiffonnier récupérateur et engage encore plus son aide vers les plus démunis. Dès 1949, il fonde le mouvement Emmaüs, du nom d’un village palestinien cité dans un Evangile. C’est en 1954 que son œuvre prend un essor important, à cause du terrible hiver de ce début d’année où l’Abbé Pierre utilise ses relations pour lancer un appel radiophonique qui restera dans les mémoires. 500 000 000 de francs sont récoltés dont 2 000 000 donnés par Charlie Chaplin ! Emmaüs est lancé sur une nouvelle dimension et la fondation se développe dans la France entière avec des opérations de construction de logements , d’emploi de personnes victimes de la vie et d’opération de recyclage et de vente de tous produits. En témoignent les nombreux hangars installés sur les 5000 m² de la propriété d’origine. Henri Grouès décède en 2007 à l’âge de 94 ans.

Ecole maternelle Paul Doumer Elle est en continuité des installations d’Emmaüs. Le bâtiment a une belle architecture reprenant des thèmes Art déco comme les avancées de toit. C’est la plus ancienne école maternelle de la commune, construite en 1930. Elle peut recevoir environ 200 enfants sur 7 classes. Elle possède une aire d’évolution à l’arrière du bâtiment ainsi qu’un jardin école donnant sur la voie Lamarque.

Ancienne poste Située rue de Plaisance (rue du Gal de gaulle), les anciens nocéens se souviennent de son exigüité ! De plus elle abritait le standard téléphonique manuel de Neuilly Plaisance « Mademoiselle, le 22 à Neuilly Plaisance…. ». La poste sera transférée un peu plus haut dans la même rue dans les années 1960. Les ateliers d’associations artistiques occupent aujourd’hui les bâtiments.

Entre la boucle Sud du bas de la ville et celle du Plateau d’Avron, une liaison est balisée qui empreinte au départ de la Place Mermoz, la troisième partie de la Voie Lamarque et pénètre ensuite dans le Parc des Coteaux d’Avron par la porte du Bois de Neuilly. On retrouve le circuit au niveau de l’aire de jeu des Grenouilles.

Dès le XIXème siècle, le sous-sol du plateau d’Avron a été exploité pour son gypse. Cette roche servait à fabriquer du plâtre. Le gypse était acheminé jusqu’en bord de Marne par des wagonnets sur voie ferrée qui empruntaient la Voie Lamarque : cette voie paysagée de plus de 2 km doit son nom à l’un des propriétaires des carrières. Les galeries serviront de refuge aux soldats français lors de la guerre de 1870, les 28 et 29 décembre. L’exploitation du gypse s’arrêtera en 1967, laissant un front de taille béant de plus de 3m de hauteur, dont il est possible de voir encore la partie haute le long du chemin.

Dans la rue du Midi, se dresse dans un jardin une curieuse bâtisse en pierres : on suppose que c’est une « cahouette », l’une des dernières de Neuilly-Plaisance. Elle servait de cave aux habitants : en effet, le sol du plateau étant traversé par de nombreuses galeries, il n’est pas possible de creuser de cave.

La place Stalingrad Anciennement appelée place des Fêtes, cette place était le lieu de rendez-vous et de fêtes des habitants du plateau d’Avron, ancien hameau de Neuilly sur Marne. En 1888, il est nécessaire de construire un groupe scolaire, la population étant de 500 habitants. Elle sera terminée en 1890: c'est donc l'école Edouard Herriot. Le marché suivra en 1903. La salle de réunions du syndicat d’Avron est rénovée en 1989 et devient le cinéma municipal « La Fauvettes »

Eglise Notre Dame de l’Assomption Cette église a été édifiée entre 1932 et 1934 grâce aux dons privés d’habitants du plateau. Le projet est l’œuvre de l’abbé Ernest Laforge dont la tombe est maintenant au fond de l’église. Son clocher a longtemps été le plus élevé de la Seine-Saint-Denis. Il ne faut pas passer à côté des vitraux qui ont été réalisés par des Maîtres-Verriers de renom. Les deux derniers ont été installés en 2017 (83 ans après) et représentent Saint-Jean-Paul II et Saint Jean XXIII.

Château d’Avron Le domaine de Plaisance existe depuis l’an 630. Il y avait une demeure qui ressemblait plutôt à un pavillon de chasse, dont les propriétaires se succédèrent jusqu’en 1634. A cette époque, un riche magistrat parisien, Claude Le Ragois de Bretonvilliers déjà en possession de la terre et de la seigneurie de Villemomble rachète le domaine : le vieil « hotel » fut immédiatement rasé et on construisit à cet endroit un magnifique château surpassant toutes les demeures environnantes. Un immense parc de 10 hectares allait jusqu’à la rue des Murs d’Avron à Villemomble. De cette demeure princière, il ne reste rien, et tous ceux qui se sont penchés sur l’histoire du plateau d’Avron se demandent comment il peut se faire que ce château ait disparu aussi rapidement !

Quartier du réservoir Il y a toujours eu un problème d’approvisionnement en eau au plateau. Un réservoir d’une quinzaine de mètres de profondeur et de 50m de diamètre était situé à l’angle du chemin des eaux et de l’avenue du Nord. Alimenté directement par les pompes de l’usine des eaux de Neuilly sur Marne, ce réservoir a été abandonné avant la guerre de 1914.

Le château d’eau de Neuilly-Plaisance a été mis en service en 1938. Il jouxte deux réservoirs semi-enterrés datant de 1894 et 1902. Ils régularisent le débit et constituent des réserves. L’usine installée au pied de la construction est télécommandée à partir de l’usine des eaux de Neuilly sur Marne. A Neuilly-Plaisance, plus de 53km de conduite alimentent en eaux environ 5000 demeures.

La position de Neuilly-Plaisance et particulièrement du Plateau d’Avron en faisait un lieu stratégique dans la défense de Paris en 1870. Dès le début de l’année des préparatifs militaires eurent lieu : destruction de maisons qui pouvaient soit servir de point de mire à l’ennemi, soit leur servir d’abri. LE 21 décembre, la bataille s’engage pour la prise de Ville-Evrard. Après l’évacuation de Ville-Evrard, la position du plateau d’Avron devint vite intenable sous le feu des canons prussiens et son évacuation fut décidée. Après l’armistice, un nombre considérable de prussiens resta habiter à Neuilly sur Marne jusqu’en septembre 1871.

Le Parc des Coteaux d’Avron A l’emplacement d’anciennes carrières de gypse comblées par des matières inertes au début des années 90, c’est un parc de 31,4 hectares qui a ouvert ses portes le 31 décembre 1999. Le parc est aménagé de nombreux chemins champêtres qui convergent vers le point culminant de la prairie. Il est possible d'y venir pratiquer diverses activités de détente et de loisirs grâce aux équipements mis à disposition du public : footing, aires de jeux, de pique-nique, pistes cyclables, terrain de pétanque, signalétique des espaces protégés... Le parc est accessible toute la journée jusqu'à la tombée de la nuit. Ne manquez pas les animations proposées régulièrement dans le parc. Le plateau d'Avron est une butte-témoin de la Seine-Saint-Denis, situé à cheval entre Rosny-sous-Bois, Villemomble et Neuilly Plaisance. Comme de nombreux parcs et buttes situés de autour de Paris on y trouve d'anciennes carrières de gypse. Vous pourrez profiter de votre sortie au parc des Coteaux d'Avron pour vous promener sur les prairies et plateau et découvrir la vue panoramique sur le Pays de France et Paris.