Pendant la guerre les activités pastorales continuent. Les bergers donnent parfois spontanément une bête aux maquisards en échange de menus services. Lors de la période des foins, l’aide apportée par les jeunes maquisards sera très appréciée par les paysans locaux, favorisant des liens importants avec la population civile. À l’été 1944, le bétail est prélevé par bons de réquisition et les bergers payés après-guerre.