
Le lavoir bâti au pied du village, le long d’une large courbe de la rivière, est soumis aux variations du niveau de l’eau, si bien qu’il est équipé de treuils permettant de monter ou de descendre un tablier en bois posé sur un rail sur lequel s’installait la lavandière. Il est couvert d’un toit de tuiles et est fermé du côté ouest pour se protéger du vent et de la pluie. Pendant l’hiver, les femmes préféraient un autre lavoir non abrité, installé à 30 m. sur le chemin amont du coteau, sur une source à température constante de 11°c.