Wandeling n°6 met het thema "ontdekking van opmerkelijke bomen en hagen" uitgevoerd door Natagora in samenwerking met de PCDN en NBC Salamander. Deze wandeling gaat naar de natuurlijke rijkdom van het dorp Grand-Manil ontdekken.
6.7 km
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max. 174 m
min. 135 m
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Toegankelijkheid | ||||||||||
Stijlen : Op het plattelandIn de stad |
Charme - Carpinus serait un mot d’origine celtique (car = bois et pen = tête). Son bois servait à fabriquer les jougs. Le Charme est taillé pour faire les charmilles. Vit jusqu’à 150 ans et peut atteindre 25 m de hauteur. Le tronc et les grosses branches présentent des cannelures hélicoïdales. L’écorce est lisse, mince et grise. Sa feuille ressemble à celles des hêtres et des ormes, un petit jeu de mot nous aide à le reconnaître: « Le charme d’Adam est d’être à poil »! En effet, la feuille du charme a des dents et la feuille du hêtre (jeune) est poilue !
Une haie de 400 m le long de la rue Baty de Fleurus. La vocation ornementale du charme s’est révélée dans les jardins à la française. Au XVII siècle, il servit à créer de mystérieux labyrinthes de charmille. Arbre élégant, idéal pour les haies régulières ou sculptées, il est de culture facile et se prête sans broncher aux tailles les plus sévères.
Arbre de 30 à 35 m, il peut vivre jusqu’à 500 ans. Son tronc est droit et élancé avec un houppier arrondi en dôme. Jeune, son écorce est lisse et grisâtre, plus âgé, elle devient épaisse, crevassée en long et brun-noir. Les feuilles alternes sont longues de 8 à 10 cm, rudes au toucher et dentées. Le fruit est une samare glabre et arrondie. L’orme peut être atteint de la graphiose, maladie due à un champignon ( Ophiostoma ulmi) transmis par les scolytes.
La rue Tous Vents est bordée d’arbres dont de nombreux Féviers d’Amérique, arbre originaire d’Amérique du nord. Il s’agit ici de cultivars qui ne portent pas les épines habituelles. Arbre voisin du robinier, il est régulièrement planté dans les rues, aux abords de la ville.
Petite chapelle dédiée à Notre-Dame des Enfants, érigée en 1987. Un pèlerinage est organisé à Notre-Dame des Enfants à Châteauneuf-sur-Cher chaque année en mai.
Arbre de 20 à 30 m pouvant atteindre 150 à 200 ans. Il rejette facilement de souche. La floraison se déroule en avril, bien avant la feuillaison. Le tronc est droit, élancé, parfois fourchu. Les feuilles sont opposées, composées et pennées de 7 à 15 folioles. Les fruits se présentent sous la forme de samares en grappes marcescentes (marcescent = qui reste attaché au support après dessèchement).
L’inscription mentionne « Dédiée à l’honneur de la Sainte Vierge ». Cette potale en pierre bleue date de 1832. Actuellement, nous y voyons une statuette de Notre-Dame de Beauraing.
Manil en latin, mansionile, signifie petite ferme, de médiocre importance. L’adjectif « grand » distingue de Petit-Manil, un hameau de Sauvenière. Les habitants sont les maniciens (ennes). L’Orneau y décrit une boucle et y reçoit un petit affluent: le Poncia. La chaussée romaine Bavay-Tongres passe au nord de Grand-Manil.
L’Orneau, une petite rivière de 25 km qui prend sa source dans le village de MEUX et se jette dans la Sambre à JEMEPPE-SUR-SAMBRE. Dans son parcours urbain, la rivière est canalisée et en partie voûtée. Cette rivière propre et poissonneuse est maintenant assainie. Toutes les eaux sales ont été busées et reprises dans un collecteur et épurées en aval.
Eglise de la paroisse Saint Guibert de GEMBLOUX. Cette église dépendait de l’ancienne abbaye bénédictine fondée en 936 par Guibert de GEMBLOUX. Elle est classée depuis 1937 comme patrimoine mondial de l’humanité.
L’église paroissiale de GRAND-MANIL, dédiée à Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus a été construite en 930/31, en style hollandais moderne, ce qui la rend très différente des autres églises de la région.
A gauche, Saule pleureur dans le jardin du N°18
Très beau parc avec de nombreux arbres remarquables: Platane commun -Platanus x acerifolia, en bord de rue Aulne de Corse - Alnus Cordata, près du bâtiment. Erable sycomore - Acer pseudoplatanus. Hêtre pourpre - Fagus sylvatica purpurea, grande blessure. Marronnier d'Inde - Aesculum hippocastanum, en bord de rue. Chêne pédonculé - Quercus robur, près de la rue.
Deux beaux sujets de cette espèce au nom d’origine amérindienne, peut-être en l’honneur d’un chef cherokee. Tronc rouge, écorce épaisse résistante aux insectes et aux incendies. De la famille des taxodiacées, le séquoia bat tous les records: Longévité : il peut dépasser 2300 ans d’âge! Certains des ces arbres encore vivants auraient environ 4000 ans! Hauteur : il peut dépasser les 100 mètres.
A la hauteur du n°56, vous apercevrez un joli parc avec quelques beaux arbres: tilleul, érable plane pourpre, frêne pleureur, magnolia.
Place des Comtes, à côté de l’église, parking des Comtes. Son nom, «Cornus», vient de son bois qui est dur comme de la corne. Ce cornouiller a été planté par les moines de l’Abbaye , il affiche donc plus de 200 ans à son compteur! Son compagnon, de la même époque, se trouve à quelques mètres dans la cour de la Faculté. Son fruit, la cornouille, est comestible.
Place Henin. Parvis de l'église 10 sujets. Arbre particulièrement bien adapté à la plantation dans les rues et sur les places. Ses fruits sont identiques à ceux des sorbiers
De 2de en 4de zondag van juli, augustus en september om 14u, bezoek aan Jardin des Hommes.Vrije ingang.Duur : 3 uren.
Dit kasteel uit de 19e eeuw bevat nog elementen uit de 13e eeuw: zo maakte de donjon deel uit van het verdedigingssysteem van het hertogdom Brabant tegen het graafschap Namen. Hetzelfde geldt voor de kapel, diegewijd is aan de heiligen Petrus en Paulus.
Gembloux werd lange tijd beschouwd als de hoofdstad van de messenmakerij in België. Deze bedrijvigheid ontstond er waarschijnlijk in de eerste helft van de 18de eeuw en bleef ambachtelijk tot de eerste helft van de 19de eeuw. In het begin van de 20ste eeuw werkten er ruim 400 personen voor deze industrie. In het heemkundemuseum krijgt de bezoeker een beeld van het leven in en om Gembloux, vanaf de Oudheid tot nu, o.a. dankzij een collectie voorwerpen gevonden tijdens opgravingen in de benedictijnenabdij (9de - 18de eeuw).
Het belfort bestaat uit de toren van de vroegere parochiekerk Saint-Sauveur waarvan de oorsprong schijnt terug te gaan tot de 10de eeuw. Deze toren werd in de loop der tijden verhoogd. De kerk Saint-Sauveur werd niet meer gebruikt vanaf 1810 en daarna afgebroken. Alleen de toren bleef over en werd als belfort behouden. Het belfort werd geklasseerd in 1977. In 2005 werd het bij de andere Belgische en Franse geklasseerde belforten gevoegd op de lijst van het werelderfgoed van de UNESCO.
Geen enkele bewegwijzering