Larressore strekt zich uit langs de valleien van de rivieren Nive en Latsa, over gebieden met weilanden, akkers, bossen en weilanden. Deze overheersing van landbouw- en veeteeltactiviteiten is waarschijnlijk de oorsprong van de naam van het dorp: Larre soro, wat in het Baskisch heide en weiden betekent. Na 1510 kreeg het zijn eigen naam en scheidde het zich af van de gemeente Halsou. Het is al sinds de protohistorie een natuurlijk kruispunt en werd al in de 10e eeuw een doorgang op de pelgrimsroute naar Santiago de Compostela, zoals blijkt uit het Pelerenia-huis. De gemeente heeft een aantal opmerkelijke gebouwen, zoals het kleinseminarie, gesticht door een inwoner van het dorp, evenals traditionele huizen zoals Karrikahiriartia. De makhila-werkplaats Ainciart-Bergara bevindt zich op het frontonplein. Wijken zoals Portuita, ooit een centrum voor de rivierhandel, en Xopera in de buurt van
Du parking, prendre à gauche et longer le Vival pour arriver face à la maison Dendarieta. Traverser la rue pour rejoindre la place de la mairie. Passer devant l’église Saint-Martin puis traverser la place jusqu’au restaurant Aldaburua et prendre l’escalier situé à sa gauche. Descendre l’escalier, traverser la D605 et marcher sur le trottoir à gauche.
Au bout du trottoir, prendre Seminerarioko bidea (rue du séminaire) sur la gauche. Il est possible d’y entrer pour admirer la cour et l’ancien cloître. Continuer sur la rue Seminariako Bidea jusqu’au rond-point, prendre la première rue à gauche puis le petit passage qui mène à l’ancien bureau de poste (Karrikahiriarta). Continuer tout droit jusqu’au passage piéton de la D20, traverser la rue et poursuivre à droite en marchant sur le trottoir.
Suivre tout droit sur 250 mètres jusqu’au château Saint-Martin situé sur la droite. Possibilité de prendre à droite sur Portuitako Bidea pour se rendre au quartier Portuita, l’ancien port de Larressore (aller-retour de 250 mètres). Suivre tout droit et prendre la rue Aintziriko bidea à gauche. Monter sur 150 mètres jusqu’à la maison Pelerenia.
Poursuivre sur la gauche et la rue Erretor Bidea jusqu’à la maison Hirigoinia. De cette dernière, prendre la rue Inthalatzeko bidea en face de la maison. Continuer sur 350 mètres et suivre à gauche la rue du même nom jusqu’au fronton du village où se trouve la fabrique de makhilas Ainciart Bergara. De là, longer à nouveau la rue principale (D20) pour revenir vers le bourg du village de Larressore et le parking de départ.
Remarquable maison labourdine du village à trois niveaux comprenant une chapelle (maison en briquettes).
Maison labourdine du début du XVIIIème siècle avec des ouvertures à encadrement de pierres. Elle abrite la poste et la mairie depuis 1932.
Inaugurée en 1895, elle remplace l’ancienne église située au quartier Portuita qui était le premier cœur du village.
Construit entre 1733 et 1865, il est étroitement lié à l'histoire de la commune. Né de la volonté de l'abbé Jean Daguerre, enfant du village, il a rempli différents rôles au fil du temps : séminaire, caserne ou encore hôpital militaire. Abandonné en 1995, le bâtiment abrite maintenant une soixantaine d'appartements. La chapelle attenante au Séminaire de style baroque est visitable (renseignement auprès de la mairie).
Postazaharra ou Karrikahiriarta en basque. Belle maison labourdine à deux travées et trois niveaux appelée. Elle a abrité le premier bureau de poste du village au début du XXème siècle.
Maison forte datant d’avant le XVème siècle, elle a gardé sa tour d’angle en poivrière, quelques meurtrières et un pigeonnier. Elle a été le théâtre d’événements locaux importants.
Ancien relais sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle datant du XVIIIème siècle. Aujourd’hui communale, elle fait office de maison pour tous et de maison des associations.
C’est la maison natale de l’abbé Jean Daguerre fondateur du Séminaire et du joueur de rugby Jean Iraçabal. Elle se divise maintenant en 6 appartements.
Donnant sur le fronton de pelote basque du village, l’atelier de cette entreprise familiale est visitable aux heures d’ouverture. A la fois bâton de marche, arme de défense et objet d’art, le makhila est un symbole du Pays Basque inscrit à l’Unesco et labellisé EPV (Entreprise du patrimoine vivant)
Balise en bois
Ronde
1 tot 2 uur
Cultureel