De top van Oilarandoi trekt de aandacht van de wandelaar zodra hij door het dorp Saint-Etienne-de-Baïgorry loopt. Om het te bereiken, moet u een deel van de beroemde GR10 (doorsteek van de Pyreneeën) volgen. Na een stop bij de "Romeinse brug" begint de klim in een schaduwrijke omgeving. De uitgang van het bos wordt gemarkeerd door gebieden die gekoloniseerd zijn door varens. Er is een vrij uitzicht op de vallei van de Nive des Aldudes en het dorp Saint-Etienne-de-Baïgorry. Een lus rond de top begint midden in de weilanden en bereikt de Aharza-pas. De top van Oilarandoi en zijn emblematische kapel vereisen een laatste inspanning tijdens een eenvoudige klim vanaf de pas. De lus gaat verder over een pad op de oostelijke helling, die de hellingen van Munhoa belicht. U vindt schaduw aan de voet van een prachtig beukenbos voordat u aan de afdaling naar het dorp begint.
Cet itinéraire emprunte une partie du tracé du GR 10. Prendre la D948 en direction de l’église. Juste après le pont moderne (avec une vue sur le pont romain), prendre la première route à gauche. Prendre à droite après le passage sous la déviation, puis encore à droite 300 m plus loin. Plus haut, quitter la route et prendre un chemin à gauche juste avant une maison. Après 200 m sur ce chemin, au carrefour de sentiers, prendre le troisième à gauche qui monte le long de la clôture. La fougère fait son apparition et le sentier rejoint un chemin peu après une antenne de télécommunication.
Prendre à gauche sur ce chemin, bordé de bouleaux au début. Les prairies apparaissent alors que la pente s’accentue nettement. Continuer tout droit dans cette zone ombragée qui se termine avec de beaux chênes. Tout en rentrant dans les pâturages de moyenne montagne, remarquer un replat à gauche avec quelques chênes et la fougère qui domine largement. En gagnant de la hauteur, le panorama s’enrichit avec une vue sur le village de Saint-Etienne-de-Baïgorry, les crêtes d’Iparla et le col d’Ispéguy. Le chemin rejoint une route au niveau d’un col peu marqué.
Prendre le chemin à droite (on quitte le tracé du GR10 pour débuter la boucle autour du sommet d’Oilarandoi). Peu après, passer un fil de clôture non électrifié et continuer tout droit . Le chemin monte progressivement après les derniers arbres et atteint une route au bout d’1 km. La traverser pour prendre un sentier à droite. Celui-ci domine la route de quelques mètres jusqu’au col d’Aharza situé 1,5 km plus loin. Le col, large et caractéristique, se reconnaît grâce à un enclos maçonné et un abreuvoir.
L’aller-retour au sommet et à la chapelle d’Oilarandoi débute ici. Pour cela, prendre à gauche au niveau de l’abreuvoir. Un chemin raide monte tout droit dans l’estive vers le sommet. Les pauses nécessaires permettent d’apprécier les sommets remarquables des environs. Sur la gauche, le sommet d’Auza culmine à 1300 m. A droite, plus proche, le Munhoa dépasse les 1000 m. Lorsque la chapelle est en vue, l’ascension touche à sa fin. Apprécier ce lieu pittoresque et la vue panoramique (sans oublier de faire sonner la cloche !) avant de redescendre par le même itinéraire jusqu’au col d’Aharza.
Prendre entre l’abreuvoir et l’enclos pour rejoindre un sentier qui apparaît à gauche. Sur cette estive, les troupeaux sont diversifiés : brebis, chevaux et chèvres y cohabitent. Après presque 2 km, atteindre un col entouré de houx. Prendre à gauche le chemin assez plat qui passe au pied d’une belle hêtraie. Le chemin se transforme en piste bétonnée jusqu’à un croisement de routes. Prendre tout droit et rester sur la route sur 250 m, puis prendre le deuxième chemin à gauche qui descend. La boucle se termine ici, il ne reste plus qu’à reprendre le même itinéraire pour rejoindre le départ.
Son nom provient du style de construction attribué à l’architecture romane. Cet édifice, construit en 1661, n'a de romain que son arche inspirée de l'architecture romaine. Prenez le temps d’observer l’usure du pavage, témoin du passage répété des charrettes. Ce pont est un superbe édifice qui relie les deux berges de deux quartiers autrefois rivaux. Il fut un lieu de passage très important dans la vie de la cité.
La fougère aigle, omniprésente sur le Pays Basque, est exploitée lorsque le relief le permet. Fauchée et séchée à la fin de l’été, elle constitue une bonne litière pour les animaux d’élevage. Autrefois stockée sous forme de meules, elle est désormais visible sous forme de bottes ou de balles. Les facteurs qui vont conditionner l’implantation de ces plantes sont pour une part liés au climat, et de l’autre liés aux conditions écologiques locales.
Au pied de la colline où se situe la chapelle, vous découvrirez un enclos en pierre. Les troupeaux fréquentent ces pâturages lors de l’estive. En plus grand nombre, les brebis de race locale (manech à tête noire et manech à tête rousse) arpentent les versants ce cette montagne. Sujettes aux parasites, cet enclos permet de leur appliquer des traitements préventifs.
Dans un premier temps, un ermitage fut bâti au début du XVIII° siècle, mais il tomba en ruine moins d’un siècle plus tard. Des processions eurent lieu chaque année jusqu’à l’inauguration d’une chapelle en 1942, qui sera endommagée par des intempéries. La chapelle, visible à ce jour, date de 1985, elle est située à 939 mètres d'altitude. Une table d'orientation permet de découvrir les montagnes avoisinantes.
Geel
Balisage PLR (jaune) et balisage GR10 (rouge et blanc)
Heenreis-terugreis (PR)
Ronde
Natuur
Meer dan 4 uur
Waterbron
Eetplek (kruidenier, restaurant)
Sanitaires