Wanneer men voet zet in Parijs, loopt men niet alleen door een stad maar reist men door een tafereel geschilderd met de levens van helden en legendes die zijn geschiedenis hebben gevormd. Van het verhaal van Saint-Denis tot de ongelooflijke saga van de vier zonen van Aymon, ademen deze verhalen leven uit in de kasseien onder onze voeten. Gepresenteerd door Balades-Fluviales-Nina-K, is deze wandelroute meer dan alleen een pad door de Franse hoofdstad; het is een meeslepende ervaring in het hart van het betoverende verleden van Parijs. Laat de geest van avontuur je gids zijn door de oude rijken van de stad, waar elke hoek een verhaal vertelt.
De route beslaat ongeveer 5,5 kilometer en is een comfortabele wandeling voor enthousiastelingen van alle niveaus. Met een stijging variërend van 26 tot 73 meter wordt de uithoudingsvermogen zachtjes getest zonder overweldigend te worden. Het hoogste punt dat bereikt wordt, is 81 meter, waardoor wandelaars niet alleen fysieke, maar ook panoramische uitzichten krijgen. Onthoud dat de route zich fluctueert tussen 27 meter op het laagste punt en dit hoogtepunt, waarmee de geografische variëteit van Parijs in een relatief korte afstand wordt gevat.
Om echt te genieten van deze historische reis door Parijs, zijn timing en voorbereiding essentieel. De lente biedt een mild klimaat, ideaal voor rustige verkenningen, terwijl de herfst de stad hult in een betoverend kleurenpalet, perfect voor fotografen. De vibratie van de zomer is verleidelijk, maar let op de hitte; blijf gehydrateerd. De winter, met zijn kou, vereist warme kleding. Ongeacht het seizoen is comfortabel schoeisel belangrijk, evenals het in de gaten houden van persoonlijke bezittingen op drukke plaatsen. Laat het verleden van de stad je betoveren, maar wees altijd bewust van het heden.
Parijs is niet alleen de hoofdstad van Frankrijk, maar ook een bewaarplaats van diepe historische en culturele betekenis. Van zijn oorsprong als Lutèce in de Romeinse tijd tot zijn transformatie tot een slagveld voor de zielen en verhalen van heiligen en strijders, is Parijs altijd het hart van de Franse identiteit geweest. Het 18e arrondissement, met verhalen over figuren als Saint Denis, getuigt van de veerkracht en evolutie van de stad door de eeuwen heen. Deze regio belichaamt de essentie van het Franse erfgoed en staat als een levendige herinnering aan de strijd uit het verleden, artistieke triomfen en de onbreekbare geest van het volk.
Parijs heeft een gematigd klimaat, met milde winters en matig warme zomers. Het weerpatroon van de stad biedt voor elke reiziger iets, maar de meest aangename tijd om te verkennen is tijdens de lente (maart tot mei) en de herfst (september tot november). Deze seizoenen bieden een perfecte balans met comfortabele temperaturen en minder drukke straten. Pak dienovereenkomstig in, met lagen voor de veelzijdigheid van de lente- en herfstdagen, en je zult ontdekken dat de open armen van de stad je verwelkomen om haar tijdloze legendes onder de meest vriendelijke hemel te ontdekken.
5.5 km
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max. 81 m
min. 27 m
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Toegankelijkheid | ||||
Stijlen : OntdekkingIn de stadOngebruikelijk Publiek : Familie Thema's : CultureelErfgoed |
Au temps où Paris était romaine et s’appelait Lutèce, vivait dans la capitale un prénommé Tubaldus, avaleur de sabres. Cet homme à la forte carrure sur laquelle il posait une grande cape rouge subjuguait son public dans les foires où il se produisait : il avalait tout : depuis le glaive du légionnaire jusqu’à la longue épée du goth. Ce colosse était marié à une jeune et douce chrétienne, Laëtitia. Ce jour-là, se tenait sur le Mont Mercure (devenu Mont des Martyrs puis Montmartre), une foire à laquelle se rendit naturellement Tubaldus. Alors qu’il avait déjà avalé de nombreux objets contondants et garni largement sa bourse, des trompettes sonnent qui annoncent l’arrivée du Préfet. Ce dernier venu pour rendre justice sur le Mont Mercure, s’arrête au passage devant Tubaldus, impressionné par la prestance du bel homme et l’éclat de sa cape. Devant un tel spectateur l’avaleur fait descendre dans son gosier quelques grandes lames ce qui ne manque pas d’émerveiller le préfet qui le récompense largement… puis s’en retourne à son devoir : le jugement de trois chrétiens. Au premier de ces chrétiens le Préfet demande de sacrifier sa foi en échange de sa vie, et ce dernier sacrifie. Ainsi pour le second qui sacrifie également. Le troisième chrétien est un vieil homme à la barbe blanche : Denis, premier évêque de la capitale et Denis refuse de sacrifier sa foi. Le Préfet donne alors ordre de l’exécution… qui finit par poser problème et pour cause : le bourreau s’est enfuit ! En désespoir de cause, le Préfet porte alors son regard sur Tubaldus : s’il avale les sabres pense-t-il, il doit savoir comment les manier ! Demande est aussitôt faite à Tubaldus d’exécuter Denis. Il refuse. Il refuse ? Il sera lui aussi exécuté ! Tubaldus pense à sa femme, à la douce Laëtitia, et finalement, Tubaldus cède : il affute sa lame et tranche le cou de Denis. Le Préfet lui envoie pour sa peine une lourde bourse, mais lui ne pense qu’à fuir : il court chez lui, se jette aux pieds de sa femme en pleurant, se repent amèrement. Au cours de la nuit qui suit, la lumière se fait soudainement dans la chaumière, et Denis apparaît, sa tête dans ses mains. Il avait marché, portant sa tête en traversant ce qui est aujourd’hui Montmartre pour venir porter son pardon à l’avaleur de sabres. Ici se trouve aujourd’hui la chapelle du Martyrium qui en marque le souvenir.
An 428, Geneviève, jeune bergère, fait paître ses moutons à Nanterre, au pied du Mont Valerianus. Depuis ce promontoire, elle admire les remparts de Paris, quand un orage la surprend. Vite, elle et ses brebis regagnent le logis quand peu après, deux voyageurs frappent à sa porte et lui demandent refuge : elle les héberge et les nourrit avec le peu dont elle dispose. En récompense de ses bienfaits, les deux hommes lui offrent une médaille en cuivre, la priant simplement de ne jamais porter d’autres bijoux. Les deux voyageurs se nommaient, Loup, évêque de Troyes et Germain, évêque d’Auxerre. Quelques années plus tard, Geneviève demeure enfin à Paris quand les Huns sont annoncés aux portes de la cité. On dit du chef des Huns, Attila, que là où son cheval a posé le pied l’herbe ne repousse pas. On dit qu’ils égorgent tout, hommes, femmes, enfants, dont ils coupent les mains avec leur sabre avant de les lancer du bout de leurs lances, on dit qu’ ils dépècent les animaux vivants et les mangent crus ou attendris sous leur selle car ils ne descendent jamais de leur cheval… Paris tremble, Paris panique, Paris veut se rendre. Sur les conseils d’un fin connaisseur des Huns Paris juge que si elle se rend les barbares épargneront les parisiens. On s’apprête donc à « offrir » la Ville quand une voix de femme s’élève auprès du Préfet Aetius : « Depuis quand le loup épargne-t-il l’agneau ? Bien loin d’ouvrir les portes de la ville il faut les fermer ! ». Geneviève ne veut pas céder, Geneviève raille la couardise des hommes, elle croit à la vertu du courage et à la puissance de la foi. Devant cette force de conviction qui embrase l’auditoire, Aetius change d’avis : on ferme les portes et les hommes prennent leur poste de combat. Geneviève et les femmes montent sur un promontoire qui domine la Seine pour prier, chemin devenu « rue de la Montagne Sainte-Geneviève ». Le lendemain Attila arrive devant Paris qu’il découvre armé et rebrousse chemin.