La Jonchère - PR n°62

Hier is een wandeling door de straten van de "Flânerie et Découvertes", waar je iets meer te weten komt over de geschiedenis van deze oude middeleeuwse stad.Deze aantrekkelijke wandeling van 2,5 km biedt een mooi overzicht van de vele erfgoedschatten in het centrum van Cusset. Je hoeft alleen maar de nummers op de brochure te volgen en de bordjes langs de straten van de stad te volgen. Stap voor stap worden de bijzonderheden onthuld en onthuld: 15e-eeuwse huizen, het oude klooster, de brandgang, de Art Nouveau kiosk, en niet te vergeten de voormalige vrouwengevangenis, de Doyat poort, de met bomen omzoomde binnenplaatsen, de molen van Chambon, enzovoort. In totaal zijn er achtendertig bijzonderheden die de bezoekers zullen bekoren.

"Ga op een moderne aanval op de oude stad van de groene honden - daar draait het allemaal om bij de Cusset-schattenjacht! 1 uur lang vragen, observaties en spelletjes.Boekje in de hand, kompas om de weg te vinden en een tas met alles wat je nodig hebt voor je avontuur - dat is de uitnodiging van de stad Cusset. Om mee te spelen en deel te nemen aan het avontuur hoef je alleen maar het schatzoekboekje te pakken, gratis verkrijgbaar bij de receptie van het stadhuis en het museum en/of te downloaden van de website, en pagina voor pagina de instructies te volgen. Alleen of in een groep gaan de spelers op ontdekkingstocht naar de oude vestingwerken, thermale bronnen, verdwenen molens en onvermoede persoonlijkheden die door de geplaveide straten van Cusset hebben gelopen. Om het einde van dit avontuur te bereiken, is een goed richtingsgevoel handig, en meer nog, "omhoog kijken" zal een van de voorwaarden zijn om als overwinnaar aan te komen. Aan het einde kunnen spelers alle antwoorden vinden bij de receptie van het museum of het stadhuis.

Vous êtes actuellement au départ d'un circuit PÉPIT. Téléchargez l'application PÉPIT et partez à la recherche du trésor ! Découvrez le patrimoine de l'Allier en famille de façon ludique et pédagogique avec PÉPIT !Pour jouer, téléchargez l’application mobile gratuite, choisissez parmi les balades à énigmes proposées, observez attentivement le patrimoine pour répondre aux questions et trouvez le trésor : une boite renfermant de véritables récompenses à collectionner… Les Zoom, petits personnages imaginaires vous aideront dans votre quête. Retrouvez l’ensemble des balades sur le site internet.

Overdekt 25m-bad met 4 banen. Zwemmen onder toezicht.Overdekt zwembad van 25 x 10 meter. Zwemmen, aquagym. Activiteiten: babyzwemmen, leren en trainen, aquaform. Badmutsen zijn verplicht en zwemshorts zijn verboden.

Avec sa salle de 339 places assises et une scène d'intérêt national en matière d'art et de création, le théâtre de Cusset présent depuis 1895, propose une grande diversité de spectacles et de conférences.

Cet ancien lavoir, remis en eau en 2019, marque l’emplacement du passage de l’ancien ruisseau de la ville, « le bief », aménagé au Moyen Âge sur commande des mères-abbesses.Derrière son style architectural caractéristique du XIXe siècle, ce lavoir est le dernier de son genre encore présent sur la ville. Contrairement à son cousin, anciennement visible rue des Barges, celui-ci fut conservé et rénové en 1996 au moment de la construction de la maison de retraite et en 2019 dans le cadre des actions menées pour conserver le patrimoine historique. Sa succession de bassins rectangulaires protégés par une longue structure métallique, laisse imaginer le cadre dans lequel les « lavandières » procédaient au nettoyage ou au rinçage du linge avant l’avènement de la machine à laver. A l’origine alimenté par le bief, ce lavoir fait aujourd’hui office de témoin historique et rejoint la catégorie du « Petit Patrimoine » identifié sur Cusset. Par son occupation discrète dans un cadre de vie urbain, ce lavoir témoigne du mode de vie de nos ancêtres et permet de matérialiser ce qui fut longtemps le lieu de regroupement et de discussion des femmes.

Cette chapelle de style néo-roman a été construite entre 1867 et 1868 par l’architecte vichyssois Hugues Batilliat en parallèle de la construction de la nouvelle église paroissiale Saint-Saturnin.Situé aux abords d’une des plus importantes des entrées de ville, l’hôpital de Cusset nommé « Hôtel Dieu » a été édifié dans la première décennie du XVIIIe siècle afin de répondre à la nécessité d’une réelle unité de soin. De cette époque, seul subsiste le pavillon d’entrée de style classique, le corps de bâtiments situé sur la gauche (actuel lieu de résidence) et sur la droite, la chapelle construite au XIXe siècle. Malgré les vicissitudes des siècles et les transformations structurelles, le site a conservé sa fonction d’origine puisqu’il est actuellement occupé par la maison de retraite de Cusset (avec ajout de nouveaux bâtiments). Toutefois, l’ancien hospice demeure tant par sa fonction et que par les quelques témoins architecturaux qui n’ont pas été touchés. La vue d’ensemble présente un porche d’entrée ayant conservé sa modénature d’origine avec un porche en plein cintre coiffé d’un fronton triangulaire et surmonté d’un toit à l’impériale avec lanternon. En vue rapprochée, l’imposante chapelle révèle des façades pourvues de nombreux vitraux et un décor rappelant que les sœurs de la Charité s’occupaient des enfants. En effet sur le tympan, l’on peut observer, Jésus guérissant un enfant et dans les niches Saint-Vincent-de-Paul et un enfant, Saint-Joseph et Jésus.

Située sur une butte naturelle à 441 m d'altitude, la chapelle dédiée à Sainte-Madeleine offre une halte dans l'histoire de l'ancienne abbaye de Cusset et dans l'art roman.Visible depuis la route menant au Mayet-de-Montagne, elle a été édifiée au XIIe siècle sur le territoire d'Espet qui appartenait à l'abbaye de Cusset. Lieu de recueillement rural géré par un chanoine pour le compte de la mère abbesse à l'époque médiévale, cette chapelle a également été le lieu d'une procession où les pèlerins venaient demander la pluie pour les cultures durant la période de sécheresse. La découverte de ce site permet de prendre de la hauteur et offre un panorama d'exception sur les reliefs de la Montagne bourbonnaise.

Deux sources, deux noms mais une seule destination: les jardins de l'ancien Hôtel Dieu où fut construit au milieu du XIXe siècle l'établissement thermal Sainte-Marie. Voici ici l'histoire de "Cusset-les-Bains"!Pour tous les automobilistes qui empruntent le carrefour de la place du Centenaire de la République à Cusset, combien sont-ils à avoir remarqué le petit édicule en béton et brique surmonté d’un grand toit à l’impérial et arborant fièrement l’inscription: « Société Vichy-Prunelle – Sources Elisabeth et Sainte-Marie » ? Curieuse construction pour certain et dernier témoin d’une époque révolue pour d’autre, cet édicule moderne construit pour réunir le captage des deux sources fait suite au premier aménagement artificiel en grotte de la 2ème moitié du XIXe siècle, situé dans le parc de l’établissement thermal, pour matérialiser la présence de ces eaux. Cet édicule fait office de porte d’entrée dans l’histoire thermale de la ville et de son magnifique établissement Sainte-Marie aujourd’hui disparu. En effet, derrière une véritable mise en scène destinée à entretenir le mystère des bienfaits de ces eaux, le complexe thermale cussétois proposait en plus de son lieu de cure et de son hôtel, un vaste parc avec kiosque à musique, tables de jeux, allées de verdures et buvette. Les sources Elisabeth et Sainte-Marie ont alors connu de nombreuses heures de gloire. Découvertes au milieu du XIXe siècle, ces eaux avoisinant une température de 17°C, se sont révélées très intéressantes pour leur teneur en magnésie et en gaz carbonique (pour la source Elisabeth également appelée source de « l’Hôpital) et en fer et en manganèse (pour la source Sainte-Marie). Par la suite, elles sont reconnues d’utilité publique en 1879, la même année où malheureusement l’hôtel Sainte-Marie connait un incendie causant la perte de la seule structure d’accueil des curistes sur Cusset. Malgré cela, l’exploitation des deux sources a perduré jusqu’au milieu du XXe siècle. Connues pour soigner les maladies du sang et les affections des appareils digestifs et urinaires, l’Hôtel Dieu n’a pas hésité à prévoir des installations permettant l’acheminement de ces eaux jusqu’à l’hospice. Aujourd’hui, même si l’eau ne jaillit plus, le quartier conserve encore les traces de ce passé thermal.

Cette église paroissiale de style néogothique a été édifiée dans la seconde moitié du XIXe siècle par les architectes Jean-Baptiste Lassus et Hugues Batilliat, sur une partie de l'ancienne église romane. ISMH 2013 Visite libre avec document.Placé en plein cœur de l'ancienne cité médiévale, l'édifice présente un imposant chevet à chapelles rayonnantes et un grand clocher dont la construction fut possible grâce à la générosité de l'empereur Napoléon III. Orientée en direction du nord, l'église Saint-Saturnin révèle des volumes dignes d'une basilique permettant la découverte de nombreuses œuvres picturales et sculptées autant en intérieur qu'en extérieur. Les gargouilles et chimères qui ornent les chapelles rayonnantes rappellent celles de la basilique Saint-Denis à Paris. À la tombée de la nuit, les couleurs et les motifs des vitraux réalisés au XIXe siècle par le maître-verrier clermontois, Émile Thibaud, se dévoilent et donnent une nouvelle dimension au cœur historique..

Vaste ouvrage en fer forgé, ce kiosque marque l’emplacement de la source Tracy forée au XIXe siècle sur commande de la ville et offre une vue sur sa petite fontaine qui fut jadis le lieu de nombreux regroupements.Trônant sur le cours Tracy arboré depuis les années 1830, ce kiosque en fer forgé a été aménagé pour théâtraliser l’emplacement de la source et accueillir une buvette à destination du public. D’abord en bois, il est « habillé » par la suite d’une coupole métallique octogonale et de vastes grilles à volutes de style Art Nouveau. La source Tracy reconnue pour soigner les maladies touchant l’appareil digestif car chargée en bicarbonate de soude, proposait une eau à une température de 14°C et venait compléter l'action de ses sources voisines. Aussi et face à l’engouement des curistes et la nécessité de proposer une offre diversifiée, de nombreux cafés ont également vu le jour aux abords de la promenade Tracy et un kiosque à musique a été construit à la fin du XIXe siècle sur un profil proche de celui présent dans le parc des Bourins à Vichy. Ce kiosque à musique n’a cependant pas été conservé et fut détruit dans les années 1960. Aujourd’hui et suite à une rénovation des cours en 2013, les nouvelles allées arborées continuent de guider les promeneurs en direction du kiosque de la source Tracy mais aussi autour de ces nombreux monuments commémoratifs réalisés en l’honneur de personnalités telles que Victor Cornil, homme de science ou encore Saturnin Arloing, vétérinaire cussétois. Enfin, n'oublions pas que sous cet éventail de petit patrimoine, les cours de Cusset ont également une autre histoire beaucoup plus ancienne à livrer : celle des remparts bordés de fossés protégeant ainsi l’ancienne cité médiévale et édifiés entre 1476 et 1483 en réponse aux attentes du roi Louis XI pour faire de la ville de Cusset une véritable cité fortifiée. Pour en savoir plus, direction le musée municipal où des visites organisées durant la haute-saison permettent de découvrir les fameux souterrains de Cusset !

Cette demeure construite au XVIe siècle constitue l'un des rares exemples d'architecture Renaissance encore visible à Cusset. ISMH 1929Située non loin de la dernière maison à pans de bois de la ville, cette maison surnommée « Barathon » dévoile malgré la porosité de sa pierre, des ouvertures aux riches décors tout droit sorti de l’architecture Antique. En effet, la porte située au rez-de-chaussée et ouvrant sur le square René Bardet, situé juste à côté, est encadrée par deux colonnes cannelées ioniques avec chapiteaux à volutes et surmontée d’un entablement et d’un fronton triangulaire sculpté. Juste au-dessus, la fenêtre du premier étage offre également, une frise de rinceaux sculptée et deux personnages engainés situés de part et d’autre de l’ouverture. Cette modeste demeure s’affirme alors sans complexe et fait également preuve d’originalité par le décrochement de sa cage d’escalier visible en façade.

Magnifique maison à pans de bois construite au XVe siècle et témoignant du mode de construction des particuliers. ISMH 1929À l'angle de la rue Gambetta et de la rue Saturnin Arloing, cette maison a été édifiée en 1449 sur commande de Jacques Chatard, premier élu au gouvernement de la Ville et député aux États d'Auvergne. Elle offre un aperçu de l’habitat civil à la fin du Moyen Âge. En effet, cette imposante demeure à pans de bois montre un rez-de-chaussée maçonné, un premier étage à l’ossature bois ponctuée par cinq croix de Saint-André et un second étage en encorbellement, supporté par des consoles de bois sculptées. Maison de particulier puis office de tourisme pendant plusieurs décennies, cette demeure arbore aujourd’hui une toute nouvelle fonction, celle de boutique à l’essai.

Bien qu’elle soit discrète face à l’imposant pignon de sa voisine, cette demeure nommée « Maison des Chanoines » est l'un des derniers témoins rappelant l’époque où le cœur de Cusset était un centre religieux important.Etroitement liée à l’histoire de l’église collégiale Notre-Dame (bâtie pour abriter le pèlerinage d’une Vierge en Majesté et aujourd’hui disparue), cette demeure a abrité pendant plusieurs siècles une confrérie de chanoines à l'origine instituée en 1236. En effet, face aux flux important des pèlerins qui venaient se recueillir devant la Vierge, les mères-abbesses décidèrent de faire appel à des chapelains. Malheureusement, très vite, les rapports entre la communauté des prêtres et les bénédictines devinrent tendus ce qui poussa à la création de la confrérie des chanoines qui restera active jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Ces derniers ont également eu un rôle dans l’éducation des jeunes gens. Aujourd’hui, bien qu’elle ne fût pas intégralement conservée en l’état, cette demeure datant du XIIIe siècle présente encore ses fenêtres à meneaux moulurées et le décrochement en façade d’un couloir situé au 2ème étage avec ces ossatures de bois.

Derrière son retrait plutôt discret par rapport à l’avenue Gilbert Roux, cette imposante demeure construite dans le 2ème quart du XXème siècle propose une architecture issue d’un savant mélange entre un style régionaliste et un style Art Déco. ISMH 2005Construite en 1929 par le cabinet d’architectes vichyssois A. Chanet et J. Liogier, cette demeure porte le nom de son commanditaire Baptiste Seive et est également nommée « Castel Maurice » en mémoire au fils aîné de son financeur, décédé lors de l’épidémie de typhoïde en 1928. Cette vaste demeure est le double témoin d’un mouvement architectural lié à une époque mais aussi celui de l’histoire d’une famille et d’une entreprise ayant marquée l’activité commerciale de Cusset au XXe siècle. Résidence de famille, « la maison Seive » fut le lieu de nombreux rendez-vous clients, organisés dans le cadre de l’entreprise « Seive Frère », volaillers, coquetiers et plumassiers reconnue tant au niveau national qu’au niveau international. Peintures murales, boiseries, carrelages, parquets, cheminées et mobiliers offraient une ambiance Art Déco et un cadre d’affaires particulièrement exceptionnel à tous les industriels ayant pu franchir le perron. Impossible de ne pas relever le magnifique papier peint bleu-gris, situé au rez-de-chaussée, à motifs géométriques et de fleurs dessinait par Henri Stéphany, peintre cubiste reconnu ayant notamment travaillé avec la société Follot, fabricant de papiers peints. Bien que certains aient pu être surpris de la différence entre les extérieurs empreint d’un style régionaliste à travers son profil et ses larges lucarnes et les intérieurs exprimant parfaitement le goût pour l’Art Déco, cette demeure offre une halte intimiste dans l’histoire de l’art sans aucune prétention. Inscrite « en totalité », y compris sa clôture sur rue, sur la liste supplémentaire des Monuments Historiques en 2005, cette propriété privée s’inscrit parfaitement comme l’un des rares exemples de maison Art Déco sur le territoire.

Cette imposante demeure, contemporaine de l'Hôtel de la Borderie, constitue un témoin silencieux mais majestueux de l’histoire du cœur de Cusset. MH 1928.Bordant le boulevard aménagé en 1906, afin d’ouvrir et d’aérer la ville, cette maison construite au XVe siècle présente une toiture à la pente plutôt impressionnante. Tout comme le logis de Jehan de la Borderie, cette demeure offre au public de la place Victor-Hugo un pignon dont les poutres de bois largement apparentes retombent sur des corbeaux en pierre. Juste dessous, prennent place dans des niches creusées dans la façade, deux statuettes en pierre sculptées en 1977 par l’artiste Robert Mermet. Celles-ci font écho à l’histoire religieuse de la cité car elles représentent une Vierge à l’enfant et Saint-Saturnin. Côté ruelle, elle présente également une belle porte avec linteau en accolade surmontée d’une tourelle en encorbellement. En 1928, les trois façades ainsi que les toitures ont été classées au titre des Monuments Historiques. Image incontournable typique de la Place Victor-Hugo et familière dans le cœur des cussétois, cette maison continue d’entretenir aujourd’hui la longue lignée des nombreux commerces que la place a pu connaître.

Derniers vestiges des fortifications érigées à la fin du XVe siècle, sur commande de Louis XI, la Tour Prisonnière et les Souterrains offrent un véritable plongeon dans l'histoire médiévale de Cusset et un lieu d'exploration artistique et ludique du XXIe.Erigées entre 1476 et 1483 par l'architecte Vauzy de Saint-Martin, les fortifications de Cusset étaient entièrement ceinturées par un vaste fossé alimenté par la rivière le "Sichon". Quatre portes permettaient l'accès à la ville, munies de pont-levis et de ponts dormants et cinq tours d'artillerie aux nombreux espaces de tirs (meurtrières et canonnières) composaient les éléments de ces fortifications. A partir du XVIIe siècle, les murailles, devenues inutiles, sont démolies sauf la Tour Notre-Dame transformée en prison depuis le XVIe siècle (ce qui explique son nom actuel de Tour Prisonnière). En parallèle au démantèlement, les fossés sont également comblés, si bien que les galeries basses des portes qui étaient au ras de l'eau des fossés se sont trouvées enterrées. Voici ici "le secret" des souterrains de Cusset... La visite libre de la Tour Prisonnière vous permettra de poursuivre votre exploration dans l'histoire médiévale et plus encore. Prison du XVIe siècle jusqu’en 1957, elle conserve encore « les stigmates » de son passé carcéral notamment par les écrits laissés par certains prisonniers. Identifiée comme la gardienne de l’histoire de la ville suite aux nombreuses collections exposées de manière permanente et/ou temporaire depuis les années 1980, elle est aujourd’hui devenue un lieu commun au patrimoine, à la création, à la diffusion et au divertissement. Véritable espace de pratiques et d’expériences sensibles, la Tour Prisonnière propose à travers une programmation annuelle renouvelée de pénétrer en quelque sorte dans une « Fabrique d’Imaginaire ». L’invitation est lancée ! La visite libre de la Tour est jumelée avec la visite guidée des souterrains (Le point de départ des visites guidées est situé à l'accueil de la Tour).

Nouvelle halte verdoyante dans la ville, le parc Barbereau, aménagée en 2004, propose de vastes espaces propices à la promenade et à la détente.Situé entre la rue Antoinette Mizon et la rue du Bief, ce nouvel espace de promenade permet une ouverture végétale et transversale dans un des quartiers situés à la confluence des deux affluents de la ville : le Jolan et le Sichon. Ce nouvel aménagement vert concoure, depuis le début du siècle, à la mise en valeur de la rue Antoinette Mizon qui par son titre, honore depuis 1904, cette donatrice ayant joué un rôle dans l’histoire de l’hospice de la ville. En effet, Antoinette Mizon, épouse de Jean de La Chaise, sieur des Graves, conseiller du roi et lieutenant particulier au bailliage de Cusset, fit don en 1717 à l’hôpital, de ses domaines des Graves et de Meunière (au pied de la côte des Justices, à la sortie de Cusset en direction de Molles) ainsi que ceux du Champ de Darcin (quartier en bordure de la rive droite du Sichon, en allant en direction de Vichy). Espace de promenade et sympathique écrin de verdure, le parc Babereau est également un lieu de mémoire suite à l’installation, en 2008, d’une imposante stèle en hommage aux déportés de Cusset durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945).

Véritable promontoire sur la ville, le parc du Millénaire propose une halte ressourçante, apaisante et sportive dans un cadre naturel préservé et aménagé.A l’origine nommé parc de la « Vernière » en référence à sa colline attenante, ce vaste parc fut en grande partie réhabilité, au fur et à mesure des dernières décennies, afin d’offrir un lieu de détente idéal pour une échappée naturelle et un parcours sportif pour une pause bien-être. A cette occasion, il prit le nouveau titre de parc du Millénaire. Au grès des allées, se dévoile progressivement une diversité d’arbres au milieu desquelles il est possible de découvrir des panneaux permettant d’en apprendre davantage sur certaines des essences présentes. Au milieu des feuillages, se dévoilent également d’étonnantes statues à l’image des 4 éléments réalisaient par les artistes Gille Anzur et Laurence Castanié dans le cadre du projet « les Marches du Temps » mené au début de ce siècle. Par certains côtés, son aménagement rappelle le style des jardins à l’anglaise et la curieuse présence d’un escalier monumental menant aux « cimes » du parc ne fait que renforcer cette idée. Dernier vestige d’un projet mené en 1920 par l’ingénieur chimiste clermontois Paul Baudecroux pour doter la ville d’une ferme modèle/centre de beauté, cet escalier fait aujourd’hui intégralement partie du cadre pittoresque du parc. Étroitement lié à l’histoire de l’exploitation des sources durant le XIXe siècle, ce projet de centre nature accessible via cet escalier monumental a été stoppé par la guerre. Ce dernier reste cependant un monument incontournable à associer aux édicules des sources présents en contre-bas du parc du Millénaire au sein du parc dédié justement à Paul Baudecroux.

La longue étendue qu’offre le parc Paul Baudecroux invite à la promenade et au voyage au sein de l’histoire de l’exploitation des sources à Cusset durant le XIXe siècle.Appelé aujourd'hui parc "Paul Baudecroux" en référence à l’ingénieur chimiste clermontois à l’origine du fameux « Rouge Baiser » et du projet de «ferme modèle», ce parc fut longtemps nommé «Chambon» en référence au site et à la forme de son affluent, le Sichon. Connu pour son grand nombre de sources découvertes et exploitées au cours du XXe siècle, le parc Paul Baudecroux conserve encore dans le périmètre du Centre Tabarly (maison des associations), les petits chalets, fontaines et mécanismes de certaines des 8 sources qui ont été découvertes à l'époque de Jean Andreau. Il rappelle alors fièrement la période où les nombreux curistes venaient se regrouper autour de ces eaux bienfaitrices et se détendre au sein des étendues verdoyantes. Loin de faire de l’ombre au passé thermal de la ville, ce parc est également un témoin de l’activité économique de Cusset et de l’histoire des moulins de l’ancienne cité religieuse. En effet, à l’entrée du parc (côté rue Faubourg du Chambon), se dresse majestueusement, sur la gauche, la maison du maître meunier et sur la droite la minoterie jouxtant une partie du XVIIIe siècle sur laquelle il est encore possible d’observer le monte-sacs et son balcon et bois abrité par un auvent. Entre histoires d’eaux et étendues verdoyantes, le parc Paul Baudecroux fait partie des lieux incontournables pour se détendre, pique-niquer et découvrir les vestiges de « Cusset-les-Bains » ou « Cusset, la médiévale ».

Située à proximité de l'avenue de Vichy, la source Mesdames est la première source cussétoise à avoir été forée. Son histoire, son exploitation et sa popularité ont lié pendant des décennies les villes de Cusset et de Vichy sur cette « ruée » vers l’eau.Aujourd’hui, les eaux de la source Mesdames savent encore se faire entendre ! Située juste aux abords de l’avenue de Vichy reliant les villes de Cusset et de Vichy, la source Mesdames n’a pas cessé de jaillir depuis sa découverte en 1844 par les frères Brosson alors concessionnaires de l’établissement thermal de Vichy. Elle est la première source cussétoise à avoir été forée et elle est également une pionnière en terme de défi technique puisque dès 1856, elle fut acheminée grâce à la mise en place de canalisations sur plus de 1,5 km, jusqu’au hall des sources de Vichy. Les curistes et habitants pouvaient alors venir se servir en eau de «Cusset». La période de la seconde guerre mondiale changea cette formule et passé 1939, la buvette de la source fut réinstallée sur ses terres. Enfin ce n’est qu’en 2014, que la ville de Cusset reprit pleinement la gestion de la source. Comme ces voisines, les sources Elisabeth et Sainte-Marie, cette source d’une température avoisinant les 17°C était chargée en fer et permettait alors de soigner les personnes atteintes de faiblesses nerveuses, de spasmes ou encore d’adynamie. A l’origine, nommée « Pajot », du nom des propriétaires du terrain sur laquelle elle fut découverte, elle prit également le titre de « Presles » en référence au quartier et enfin celui de source « des Dames » en hommage à Mesdames Victoire et Adélaïde de France, filles de Louis XV, venues à Vichy à la fin du XIXe siècle pour prendre leurs eaux. Ces dernières appréciaient les plaisirs de la promenade si bien que Cusset leur doit la fameuse allée « Mesdames ». D’abord un chemin en terre, cette allée jouxtant le square de la source arbore depuis fièrement comme la source le doux nom de « Mesdames ». Aujourd’hui, la mélodie du ruissellement de ses eaux appellent à faire une halte dans ce square ombragé où l’on peut encore observer l’imposante fontaine en pain de sucre.

Magasin de réparation, ventes et location de vélos basé à Cusset (03300). Nous vous proposons une large gamme de Vélos à Assistances Électriques à la location.Les locations de vélos se font à la demi-journée, journée et week-end. Nous mettons à votre disposition des vélos de type gravels, VTT/ VTC à assistance électriques vont vous permettre de sillonner les chemins et routes vichyssoises. Nos vélos à assistance électriques sont équipés d'une batterie de 500W qui vous permettront de parcours une distance jusqu'à 100 kilomètres.