Intraprendi un viaggio nel tempo nella affascinante comune di Houplin-Ancoisne, un luogo dove storia e natura si fondono. Proposto da Seclin Mélantois Tourisme, questo itinerario ti invita a esplorare l'essenza della Francia settentrionale, con due chiese iconiche e il sereno canale Deûle. Mentre ti immergi in questi paesaggi pittoreschi, avrai l'opportunità di conoscere la ricca storia che ha plasmato questa regione, dai primi insediamenti all'epoca vivace dei Paesi Bassi spagnoli. Sentirai l'atmosfera unica che prospera nell'intreccio tra elementi storici e naturali, offrendo una tangibile sensazione di luogo e tempo.
Il percorso si estende per circa 5,02 chilometri, attraversando altitudini che vanno dai 21 metri al punto più basso ai 30 metri al punto più alto. Con un dislivello positivo totale di circa 13-14 metri, i camminatori possono prevedere una salita relativamente dolce nel complesso. Questo percorso attentamente studiato da Seclin Mélantois Tourisme assicura un'esperienza coinvolgente ma accessibile a partecipanti di tutti i livelli, rendendolo un'opzione ideale per coloro che cercano sia passeggiate rilassanti che arricchimento storico.
Indipendentemente dalla stagione, i mutevoli paesaggi di Houplin-Ancoisne offrono esperienze uniche. Durante la primavera e l'estate, la vegetazione lussureggiante e i fiori in fiore accentuano il fascino della zona, mentre l'autunno regala una tavolozza di colori caldi da ammirare. In inverno, l'aria frizzante e l'atmosfera serena offrono uno sfondo tranquillo per la riflessione. Per una visita sicura, controlla sempre le previsioni del tempo in anticipo, indossa calzature comode e mantieniti idratato. Inoltre, dato il carattere storico dei luoghi, ricorda di rispettare l'ambiente circostante per il piacere dei futuri visitatori.
Houplin-Ancoisne, incastonata nella regione Hauts-de-France, rappresenta un capitolo significativo nel mosaico della storia francese. Dai suoi primi accenni nell'XI secolo all'importanza strategica durante il periodo dei Paesi Bassi spagnoli, l'area funge da museo vivente. Le chiese distintive, Eglise Saint Martin e Notre-Dame de Lourdes, fungono da segnalibri nel tempo, racchiudendo momenti di evoluzione architettonica e sociale. Questo territorio, con i suoi ricchi reperti archeologici, inclusa una necropoli merovingia, testimonia l'impronta duratura dell'uomo su questa terra.
Il clima a Houplin-Ancoisne è temperato, caratterizzato da estati miti e inverni freschi. Le precipitazioni sono distribuite in modo equilibrato durante tutto l'anno, con periodi leggermente più asciutti durante la primavera e l'estate. Per un'esperienza più piacevole, si consiglia di visitare tra maggio e settembre, poiché il clima è generalmente gradevole e favorevole per camminare ed esplorare. Questi mesi offrono un perfetto equilibrio tra attività al chiuso e all'aperto, consentendo ai visitatori di apprezzare appieno ciò che la comune ha da offrire sotto il tepore del sole.
5 km
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max. 30 m
min. 21 m
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Stili : EscursionismoPasseggiataIn campagna Pubblici : Escursionisti occasionaliAnzianiAdolescentiScuola Temi : CulturalePatrimonio |
L’église Saint Martin trouve son origine, au tournant des XIIe et XIIIe siècles, et ne présentait alors qu’une seule nef. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle, vraisemblablement pour des raisons démographiques, qu’elle adopta cette forme « hallekerque » à trois nefs. Les travaux durèrent assez longtemps car sur de nombreux plans compris entre le XVIIe et le XVIIIe, le clocher alterne sa position soit en porche ou au milieu de l’église entre la nef et le chœur. L’église fut sauvée en 1965 dans le cadre de l’émission « Chef d’œuvres en péril ». Saint Martin offre quelques trésors à l’heure où Houplin vivait à l’heure de la Flandre espagnole entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle comme ce bas-relief d’une Vierge en Majesté ou, dans le choeur, les médaillons vitraux et les têtes de poutre sculptées.
Ce carrefour porte le nom de l’abbé Joseph Demeulenaere, curé d’Houplin de 1959 à 1992. C’est sous son impulsion que fut restaurée l’église Saint Martin. La Chapelle Notre-Dame de la Route présente de part et d’autre, deux petits vitraux en fenêtres latérales : une Vierge à l’enfant et un Saint Martin partageant son manteau avec un pauvre.
Cette dîmière sous la direction de l'abbaye de Loos, qui s'approprie 60 hectares de terres cultivées. La dîme étant l'impôt agricole dont la redevance à l'église représentait 1/10ème des cultures. Dans cette ferme, aux origines du XVIIème siècle, se trouvait un élevage de 120 porcs. D'où le nom "Pouillerie" voulant dire élevage de porcs. L'édifice se présente en ferme au carré, typique des fermes flamandes, entouré de douve dont l'eau provenait de la rivière Wanbecque. On peut, également, remarquer les imposants contreforts le long des murs en briques rouges servant à soutenir les stocks agricoles de la dîme dans les larges granges. Précisons que durant la Première Guerre Mondiale, les allemands ont aménagé une piste d'aérodrome sur les terrains agricoles. La route pavée servant de piste de décollage et d'atterrissage. La ferme logeait les officiers aviateurs. Aujourd'hui, classée aux monuments historiques, la ferme est aménagée en gîte d'accueil.
Vous apercevez sur la gauche le second clocher, celui de Notre-Dame de Lourdes. Elle fut construite en 1901 afin que les habitants du hameau d’Ancoisne puissent avoir leur propre église. Restaurée en 20112012, elle présente une architecture néo-gothique au travers notamment de ses pinacles de pierres blanches. Son acoustique y est excellente et permet d’offrir de nombreux concerts à l’année.
Ici se tenaient deux moulins jusqu’à la fin du XIXe siècle, puisque celui à farine est encore mentionné en 1898. Ces structures nous permettent d’évoquer la présence de marchands de « wedde », une plante tinctoriale donnant un très beau bleu. Cette culture, fort longue, fit la richesse de nombreux villages de la contrée avant que tout cela ne disparaisse avec l’invention de l’indigo. Un registre de 1595 nous apprend que ces moulins étaient des dépendances du château appelé « Beaumanoir » à hauteur d’Ancoisne.
Au cœur du Parc de la Deûle, lauréat du Prix National du Paysage en 2006 et du Prix du Paysage du Conseil de l'Europe en 2009, se niche un immense espace de nature extraordinaire... composé de 10 jardins en forme d'invitation à rêver, et à s'ouvrir sur le monde. Bienvenue à MOSAÏC ! MOSAÏC, le jardin des cultures est situé à Houplin-Ancoisne. Ce parc est composé de dix jardins contemporains qui rendent hommage aux origines des migrants installés dans la métropole lilloise. Il mêle harmonieusement botanique, œuvres d'art et animaux domestiques rares. Chacun d'entre eux a été réalisé par une équipe de paysagistes et d'artistes plasticiens, à l'issue d'appels à projets internationaux. Fruit du talent des paysagistes Jacques Simon, Yves Hubert et Jean-Noël Capart. Régulièrement, MOSAÏC propose des concerts, des contes, de la danse, des ateliers d'initiation aux arts, des visites décalées etc. Audio-guides, restauration, jeux, hamacs, transats vous attendent. Mise à disposition de voiturettes électriques pour personnes à mobilité réduite.
Le canal de Seclin, long de 5km rejoint la Deûle. Son percement entre 1856 et 1880 donnait un débouché fluvial et commercial pour une ville ou fleurissaient les industries de l'époque : filatures de lin et de colon, brasseries, distilleries sucreries… Histoire du canal : La ville de Seclin a été édifiée sur ce qui était autrefois une zone marécageuse, offrant aux populations diverses ressources. Ce marais était notamment utilisé pour l’élevage, la pêche, le fauchage, l’extraction des tourbes pour le brûlage ou encore pour la plantation d’arbres pour la coupe. En 1842, M. Davaine, ingénieur de Lille, proposa la création d’un canal pour répondre à l’essor de la Révolution Industrielle. Ce canal avait pour objectif premier de transporter les marchandises, et en particulier le charbon vers les industries en expansion. Ce projet fut mal perçu par la population locale. En effet, à cette époque, les canaux de Lille représentaient l’exemple le plus marquant en la matière et étaient surtout connus de par le fait qu’ils étaient nauséabonds. Par crainte de pollution, les Seclinois refusèrent la création du canal. Cependant, les partisans du projet, essentiellement constitués d’industriels et de fermiers, décidèrent de créer en 1855 : « la société du Canal de Seclin ». Cette association va s’attacher à la création de ce canal qui verra le jour un an plus tard. Long de 4.5m, large de 6m et avec un tirant d’eau de 1.65m, il faudra attendre 1862 pour qu’il soit praticable. Véritable acteur de la Révolution Industrielle, le canal sera relégué au second plan avec l’essor du chemin de fer. Ainsi, en 1970, le chemin de halage est reconverti en lieu de promenade, permettant la découverte d’une faune et d’une flore tout à fait spécifique. Les promeneurs sont amenés à passer un agréable moment sur les berges, au cœur de la nature qui a inspiré des générations d’artistes.