Situé à l’arrière de l’une des propriétés de Park ar Piz (du breton, le champ des pois) et accessible depuis le centre-ville par une venelle, ce lavoir est le témoin d’une activité textile commune à la région et source de richesse. Il permettait le blanchiment du lin pratiqué de façon artisanale, car autrefois, de nombreuses familles possédaient dans leur grenier un métier pour tisser les toiles.