De nombreux lavoirs subsistent le long du Meu et du Garun, construits à la fin du XIXe siècle, pour répondre à la demande croissante des lavandières. Derrière le lavoir du Colombier se tient un séchoir à linge muni de volets à claires-voies. La forme ronde du bâtiment est imposée par le tracé des anciennes douves. Un bateau-lavoir facilitait même la tâche des laveuses.