Les abords du Meu ont été la première « zone industrielle » de la ville. Ils accueillaient notamment plusieurs tanneries au Moyen Âge, concentrées progressivement en un établissement unique, fonctionnel jusqu'aux années 1960. À proximité, subsiste également le moulin à tan, dont l’écorce de chêne broyée servait à tanner les peaux produites. Dans le lit du Meu, près des moulins, un petit édicule toujours visible abrite une source d’eau minérale