Au début du XXème siècle, l'eau était un bien très rare au sein du village. C'est la raison pour laquelle les lavoirs étaient placés à proximité des sources et que ceux-ci ne fonctionnaient pas l'été. Sa restauration en 2008 a permis de conserver le caractère particulier de l’architecture initiale. C’est un véritable lieu de mémoire où les femmes du quartier "venaient faire la rusquade".