Nom qui perpétue le souvenir des régiments de cavalerie qui venaient autrefois passer leurs quartiers d’hiver à Availles chez l’habitant.. Au passage, vous remarquez une vieille porte cloutée, une fenêtre à meneaux, les ruelles et les venelles coupe-feu moyenâgeuses. A gauche, au n°5, se tenait l’ancien bureau de poste. C’est dans ce bâtiment que fut télégraphié l’armistice de la Première Guerre mondiale.