Le commerce des plantes médicinales a alimenté du XVIIIème siècle jusqu’au début du XXème siècle, l’économie locale. Les femmes se sont spécialisées dans ce petit commerce plutôt ingrat. Elles ramassaient l’arnica, le souci, la sanguisorbe officinale afin de les revendre aux herboristes qui bénéficiaient de cette main d’œuvre locale peu onéreuse.
Nombreuses sont les plantes sauvages de montagne qui servent à guérir les maux, réactualisées aujourd’hui par le renouveau des « recettes de grands-mères ».
Le carré des sauvages de montagne présente les plantes qui étaient utilisées par l’industrie pharmaceutique et qui étaient ramassées par les femmes.
Le carré des plantes médicinales qui étaient cultivées dans les jardins afin de soigner la famille.
Un carré de bleuet-coquelicots a été planté car ce sont des fleurs qui sont très présentes dans les prairies et beaucoup utilisées dans les médicaments.
Photo :Coquelicot, cette plante a des propriétés sédatives