L'auberge "Au boeuf noir" (Am Schwarzen Ochse), qui se trouve en face de vous a ouvert ses portes en 1893 et a accueilli de nombreux repas d'associations ou de soirées théâtre jusque dans les années 1990. Il y eut jusqu'à cinq restaurants pour satisfaire villageois et touristes venus visiter le château.
Pendant plusieurs siècles la source principale de revenus des habitants a été la terre. Cultivateurs, journaliers et laboureurs travaillaient en nombre dans les champs alentours. Il y avait alors surtout des prés autour du village et non des forêts comme aujourd'hui. La proximité des carrières de grès (Rothbach) a permis à de nombreux tailleurs de pierre d'exercer leur activité. Bouchers, boulangers, charpentiers, cordonniers, forgerons étaient également représentés comme dans la quasi totalité des bourgs de la région.
Mais il est un métier qui s'est particulièrement développé à Lichtenberg : il s'agit d'artisan forain. Louis Huber dont le stand consistait en la vente de chocolats, nougats et bonbons a été le premier forain de Lichtenberg dans le premier quart du XXe siècle. Les forains animent les fêtes de village appelées "messti" en Alsace. Ces grandes kermesses donnent vie aux places lors des beaux jours. Jeux, manèges, buvettes, bals, musiques et danses folkloriques sont les ingrédients d'un messti réussi. C'est souvent à cette occasion qu'on fêtait les conscrits.
Pour en savoir plus sur l'évolution du village de Lichtenberg poursuivez votre chemin et arrêtez-vous dans la montée qui mène au château.
Marcel nous parle des divers restaurants et des activités du village :