Là encore, le nom des rues nous renvoie à l’histoire de la Ville. Le reste, cependant, nous inscrit dans la modernité avec ces belles façades tantôt rouges, tantôt claires. La particularité de cet îlot réside autre part. En effet, comme le laissent deviner les passerelles passant d’un bloc à l’autre, leur sommet est garni de nombreux jardins. En exagérant un peu, on peut dire que c’est un peu les « jardins suspendus » de Liège. C’est toutefois là l’un des rares points communs, si pas le seul, entre la Cité ardente et l’antique Babylone.