
Situé sur le cours de la Hure, après 2km600 de marche, il est le seul des quatre moulins qui existaient sur cette rivière à avoir perduré. Des sources écrites attestent son existence dès 1828.
François Mauriac évoque à plusieurs reprises ce moulin dans son œuvre, particulièrement dans "Le mystère de Frontenac"
Voici quelques lignes : "Le chemin de sable aboutit au pont à l'entrée du moulin...le vieux cœur du moulin battait encore dans le crépuscule...le ruisseau, les prairies composaient une clairière de verdure, d'eau et de vie cachée que cernaient de toute part les plus vieux pins de la commune".