En 1914, il existe deux communes distinctes : Richebourg l’Avoué, sur laquelle se trouve la ligne de front, et Richebourg Saint Vaast située à l’arrière des lignes alliées.
Dans les hameaux éloignés du front, au Bout de la Ville par exemple, des familles continuent à vivre au milieu des soldats et sont victimes de la violence de guerre.
Après l’armistice, les habitants de retour dans un paysage dévasté unissent leurs efforts pour reconstruire les villages.
Un monument aux morts, représentant le gisant d’un poilu, commémore 97 Richebourgeois tués à la guerre. T
émoin des destructions, la statue d’un Christ mutilé par les obus a été accrochée sur le mur extérieur de l’église, côté cimetière.
Crédits images : IWM