En plaine et dans les vallées, les milieux agricoles sont organisés en une étroite mosaïque paysagère. Cette infinité de paysages, intimes et secrets, forme toute l’identité du Parc du Luberon. Le maintien d’une agriculture encore largement extensive a permis la sauvegarde de nombreuses plantes messicoles (bleuets, adonis, miroirs de Vénus…), espèces associées aux cultures de céréales depuis des temps immémoriaux, mais en voie de disparition sur le territoire national.