
La fille d'André Koechlin et épouse de Nicolas-Ferdinand Koechlin fils, fonda en 1852 un Comité de Patronage. Elle sollicita la communauté des Sœurs Diaconesses de Strasbourg pour faire venir à Mulhouse une sœur chargée de soigner les malades à leur domicile. Ce premier patronage, situé près de la Cité ouvrière, fut à l’origine de la Maison du Diaconat. Il s’agissait alors de prodiguer des soins aux ouvriers et à leurs familles. Un deuxième Patronage vit le jour en 1853 ; puis en 1854, s’ouvrent ceux du Centre et de la Ville haute. Venir en aide à son prochain en exerçant la charité chrétienne fut la principale motivation de ces institutions. La stèle sobre en marbre est surmontée d'une croix insolite en fer forgé.