A l’origine, ce jardin appartenait à l’abbaye Saint-Aubin et subvenait aux besoins quotidiens des moines : fruits et légumes pour les repas, fleurs pour les autels et jardins des simples pour les remèdes. Durant la première moitié du 19ème siècle, le jardin devient un jardin fruitier. On y créé la Doyenné du Comice que le pépiniériste angevin, André Leroy, commercialisera rapidement aux Etats-Unis puis en Angleterre et en Allemagne. La Doyenné du Comice est reconnue meilleure poire au monde en 1894 par le journal horticole de Londres et reste aujourd’hui la troisième variété de poire la plus consommée en France.