
Propriété de l’abbaye Saint Vincent, elle devint celle de la ville de Laon à la Révolution française.
Elle est alimentée par deux drains : l’un au nord, long de 85m, à hauteur d’homme ; l’autre au sud, de 49m, accessibles par un petit couloir après une porte en fer datant de 1756.
Les dernières restaurations remontent à 1826 pour les drains et 1996 pour la partie extérieure.
Son nom est lié au nombre important de moulins jalonnant cette partie de la cité au début du XIXe siècle (pour preuve, jetez un oeil à la mquette du plan-relief de la ville)...