
En remontant la rue Saint Sauveur, on peut découvrir parmi les différentes bâtisses, ateliers et commerces, un élément qui nous rappelle que dans les temps anciens les impôts étaient calculés sur les ouvertures. Les personnes peu fortunées, ne voulant pas avouer leur précarité, faisaient apparaitre sur leur façade de fausses fenêtres allant même jusqu’à coller de vraies ferrures. Vous pourrez en observer 3 conservées en l'état, à l'angle de la rue des Calvys.