Omnirá signifie liberté en lorubá. L’intention lors de la création de ces tableaux est d’encourager la mémoire affective et la prise de conscience des valeurs ancestrales du quilombo, de la culture et de la vie africaine qui résistent et se réinventent.
Ces portraits représentent les peuples indigènes les plus anciens de tous, voyageurs du temps et gardiens de la sagesse de la forêt. L’oeuvre parle d’un monde où il n’y a qu’une seule personne, composée de tant d’autres personnes et de tout ce qui existe, et tout est sacré. L’héliconia entre les mains de la mère parle des histoires qui viennent dans le chant des oiseaux. Naître, c’est chercher l’infini.