
Ce monolithe est signalé comme limite du territoire paroissial de Sainte-Eulalie-de-Cernon, aux confins de la devèze, dans les compoix d’Ancien Régime de cette ancienne communauté. Cet édifice est géologiquement en place mais le caractère spectaculaire de la « Pierre plantée » a sans doute paru artificiel pour les populations du passé d’où son appellation. Pour Rémi Azémar, son aménagement apparaît toutefois indiscutable avec la structure circulaire qui entoure sa base (thèse, 2020).