
Pour protéger les cultures grainetières et maraîchères, les « jardiniers » de Saint-Rémy plantent dès le XIXe s. un dense réseau de haies de cyprès qui jouent un rôle de brise-vent. La base des troncs, dénudée avec le temps, est renforcée de « sébisses », de petites palissades de cannes de Provence. Les sébisses maximisent les effets de la haie brise-vent et limitent les turbulences à la base des troncs