

Le calcaire est ici particulièrement sableux et très friable. Érodées par le vent et la pluie, les grottes y ont servi d’abri dès le Néolithique avant d’être réaménagées au Moyen Âge pour accueillir un ermitage. Cet habitat troglodytique est occupé jusqu'au milieu du XIXe s. C'est à sa dernière habitante, une vieille femme seule surnommée la Jacquotte par les Grésouillais, que la grotte doit son appellation familière « la grotte de la Vieille ».