
Pour les hommes qui résidaient ici pendant trois ou quatre mois par an, comme pour les habitants qui y vivaient à l’année, l’eau représentait le premier besoin. L’aménagement d’une fontaine sur ces hauteurs nécessita de nombreux efforts. L’eau d’une source fut captée à plusieurs centaines de mètres d’ici et acheminée par un canal, ou aqueduc, réalisé en pierres sèches. Autour de ce point d’eau, d’autres aménagements se sont petit à petit regroupés : le lavoir, l’abreuvoir et le four à pain.