


Sur La Gardette, les tas de pierre régulièrement espacés et aux volumes comparables (3 m3), ne sont pas des cabanes effondrées du néolithique (-100 000 ans), ni les ruines d’un Saignon de la protohistoire (-750 ans). Ces clapiers sont le résultat de l'épierrage ancestral du terroir et ont été amoncelés sur des zones sacrifiées consécutif à l'épuisement des sols. Il n'y a donc rien d'extraordinaire à ce que des outils néolithiques, ramassés lors d’épierrage, aient été retrouvés dans des clapiers.