
En 1850, le Queyras est à son apogée démographique (8500 habitants). L’agriculture est très présente. De nombreuses parcelles ont été déboisées pour les pâtures ou les foins. Ces exploitations ont permis à une flore particulière de s’installer. L’évolution du mode de vie, le développement de l’industrie dans les villes, les deux guerres mondiales et l’évolution des pratiques agricoles ont décimé la population. En 1970, seulement 1900 habitants vivent encore sur le Queyras. Les parcelles les moins accessibles sont abandonnées et les milieux se referment.