
Surnommé "Petite reine", ce village a su garder une authenticité en corrélation avec son histoire. Perché à proximité des cours d'eau de l'Anary et du Toulourenc, cette place fortifiée a un passé semblable à celui de Montbrun-les-Bains, visible au loin. Les Reilhanettois ont rapidement développé un mode de vie autosuffisant, tourné vers une agriculture locale (lavande, épeautre et gros blé). Poste de conduite de tir de la force de frappe nucléaire française, ce village eut une seconde vie militaire, disparue de nos jours.