

Deux types de lavoirs font partie du patrimoine Néoulais. Le plus ancien, qui date de 1907, se trouve alors au niveau de l’eau. Les « bugadières » (lavandières en provençal) y lavaient le linge à genoux, équipées d’un battoir, d’une brosse, d’une planche et d’un pain de savon de Marseille. En 1936, un nouveau lavoir permet aux femmes de laver le linge en position debout. Le linge était tout d’abord blanchi à la cendre de bois dans des cuviers avant d’être lavé et rincé au lavoir.