
Témoignant de la vie religieuse et élément précieux du patrimoine, cet oratoire semble commémorer la présence d’une chapelle disparue datant de l’époque romaine. Peu avant la dernière guerre, à l’époque où ces petits monuments commençaient déjà à disparaitre, Emile Ripert, célèbre félibre provençal, écrivait dans la revue « Le Feu » en 1935 un ardant plaidoyer appelant à les relever de leur ruine, soulignant qu’ils sont « une halte, un recueillement dans le paysage, une invitation à méditer. »