

Ici, on devine aisément l'ampleur de travail des paysans qui ont ramassés des milliers de cailloux avant de pouvoir espérer cultiver le plateau. Cet épierrage a permis également de draisser des murs ou murets en pierre sèche le long des chemins et des limites de propriétés. Le surplus de pierre est ordonné en tas, appelé clapié ou clapas en provençal. D'où par ailleurs, le ''Plateau des Claparèdes'' situé au pied de la face nord du grand Luberon, particulièrement jonché de cailloux.