
Au XIIIe siècle, Sainte-Anne est citée comme “prieuré rural”, établissement religieux doté de revenus et dépendant d’une seigneurie ou d’un monastère. Comme pour d’autres édifices de ce type cette chapelle a été considérée comme “templière”. Malheureusement pour elle, les Templiers ont connu une nouvelle postérité au XXe siècle, alimentée par un hypothétique trésor caché… que certains cherchent encore, à coup de pelles et de pioches. Depuis pour pallier tout vandalisme, la chapelle est fermée.