

En 1992, un incendie dévaste 1 800 ha de forêt et de garrigue de Grambois jusqu’à Beaumont-de-Pertuis. Ce triste événement a eu un rare effet positif : la réouverture des milieux au cœur du massif. Cela permit à des espèces, comme le lapin de garenne ou certains passereaux, de reprendre leurs droits. Parallèlement, afin de pérenniser une grande coupure au sein du massif, essentielle dans la stratégie de lutte contre les incendies, un vaste secteur pâturé par les moutons a été restauré.