
Il faut probablement remonter à plus d’un siècle en arrière pour imaginer la présence épisodique des vautours fauves sur le territoire et les falaises du Verdon. Aucun Rougonnais n’a entendu parler et encore moins vu ces grands rapaces qui se nourrissent exclusivement d’animaux morts avant leur introduction ou réintroduction. Compte tenu du petit nombre d’animaux domestiques il est probable que leur nombre devait être extrêmement réduit et leur territoire particulièrement étendu.