

Technique ancestrale, les terrasses de cultures sont apparues par la nécessité de dépierrer des terrains trop caillouteux pour être cultivés. Les murets en pierres sèches, issues du dépierrage, servaient à maintenir la terre et de cultiver le terrain sans risque d'érosion. Après l'abandon des cultures, les terrasses ont progressivement été recolonisées par la forêt. D'abord en friche, puis en pinède.