
Ce chemin est assez raide. A mi-pente, une partie plate et ombragée était appréciée des ânes et de leurs maîtres qui y reprenaient leur souffle ! Sur les terres caillouteuses et pentues, aujourd’hui sauvages, ont y récoltait des amandes et des olives. Dans les safranières on cultivait le « crocus sativus » dont les stigmates (le safran) rapportaient gros.