

Qualifié à tort de parasite, le lierre utilise de petites racines aériennes mais ne prélève pas la sève de l’arbre, contrairement au gui. Si l'arbre est en bonne santé, la cohabitation entre les deux plantes se passe bien, elles se rendent des services mutuels. Le lierre protège son arbre support des intempéries et peut coloniser tout tronc et branche disponibles pour se développer. Sa présence peut être une menace uniquement si l’arbre colonisé est affaibli, le lierre prenant alors le dessus.