

La place de l’olivier dans les paysages provençaux est capitale même si elle s’est surtout développée au XIXe s. Sur les terrasses, il est particulièrement mieux abrité des gels auxquels il est sensible ; la chaleur du jour est restituée aux cultures la nuit venue. L'olivier sait se contenter de sols peu fertiles et caillouteux des versants. Les gels successifs et les mésaventures économiques de l’oléiculture ont fait régresser cet arbre qui peut devenir plurimillénaire. Après un siècle de régression, une reprise de l’oléiculture est constatée aujourd’hui.