




Dès le XIXe s., on note une insuffisance d’eau et l’impossibilité de faire fonctionner les moulins de Véroncle plus de deux mois dans l’année. Alors pour s’adapter, les meuniers ont dû trouver d’autres sources de revenus. C’est ainsi qu’ils se lancent dans des petites unités d’élevage, de la polyculture, du bois de chauffage ou encore des vers à soie ! Et quand l’eau déniait bien couler dans les gorges à nouveau, ils reprenaient pour un certain temps leur métier de meunier.