
Les premières traces écrites de l’utilisation de ces alpages datent du XVe s. A l’époque, le lieu dépendait de l’abbaye de Boscodon. Les habitants des Escoyères y faisaient leurs réserves de foin et les redescendaient à dos de mulets. En 1628, le village d’Arvieux, s’étant bien développé, cherche des terres pour étendre sa production. L’alpage est racheté, et les habitants des deux villages se partagent l’estive. Les chalets ont un rez-de-chaussée en pierre et un premier étage en bois sans balcon de séchage.