
Découverte au XVIIe s. sur les hauteurs de l’Audibergue, cette météorite de 625 kg se compose de 90,9 % de fer et de 9,1 % de nickel. Elle fut officiellement reconnue par des scientifiques en 1828, puis transportée au Muséum national d’Histoire naturelle à Paris. Aujourd’hui, un moulage fidèle à l’original est visible à la mairie de Caille.