


Le 25 mai 1720 un vaisseau, le Grand Saint Antoine accoste à Marseille apportant dans sa cargaison, la Grande Peste. Celle-ci se propage rapidement dans toute la Provence, y compris à Lourmarin, touché une nouvelle fois après l’épidémie de 1348. Devant l’hécatombe et le désarroi des populations, de curieux remèdes sont proposés : un médecin du village préconise des soins… avec de l’urine humaine. Un autre vante les vertus du sang de chat, mais il tombe aussi frappé par le mal et son « remède » disparait avec lui.