


Ici, de nombreux cailloutis couvrent le sol. Il s'agit de fragments calcaires arrachés au Luberon par l'alternance du gel et du dégel lors de la dernière phase froide du quaternaire. Ces dépôts, appelés gélifracts sont très fréquents dans les massifs calcaires où ils peuvent atteindre 40 m d'épaisseur ! Au quaternaire, les torrents ont également façonné les paysages soit en creusant profondément leur lit, soit en accumulant des sédiments, sous l'influence des variations climatiques.