


En bordure du sentier mais aussi un peu partout dans le sous-bois, vous remarquerez les nombreux alignements de murs consécutifs à l'épierrage ancestral et des murs de soutènement en pierre sèche. Ces constructions aujourd’hui délaissés, confortaient autrefois les terrasses cultivées en restanque (''digue'', ''tanqué'' pour tenir debout) ou "bancaou" (pour banquette en provençal). Ces murs laissaient passer l’eau de ruissellement tout en contenant la terre pour des cultures de subsistances ; essentiellement du blé et du fourrage pour les bêtes.